Geoffrey — Au plus bas des tréfonds de la nature humaine

« Ohé ohé matelot, matelot navigue sur les eaux… »
Quand il était tous petit il aimait jouer aux pirates. Petit garçon plein de vie, personne n’aurait pu se douter de ce qu’il deviendrai plus tard. Son grand père était un marin et il passait de nombreuses heures avec lui à voguer sur les eaux et la voile se révéla être une passion. Jusqu’ à la mort de celui-ci, Geoffrey devint alors un peu plus obsédé par la voile et il passait le plus claire de son temps sur le bateau. Il considérai cette endroit comme sa maison. A 12 ans, Geoffrey expérimenta la solitude… Son grand père était tout pour lui. Le temps lui avait appris que la vie n’était pas facile et il avait perdu un ami, un père aussi. Etant donné que le père biologique de Geoffrey l’avait toujours ignoré son grand père maternel avait joué le rôle de la figure paternelle. Un brin autoritaire, le papi permettait à son petit fils de restait dans le monde de l’enfance et dans le droit chemin. Depuis ces 12 ans et jusqu’à aujourd’hui, en l’absence de figure d’autorité Geoffrey se pensait donc au dessus des règles. Il commença d’abord par arriver en retard, ensuite sécher les cours. Sa scolarité fut chaotique, et le jeune homme se mis à fréquenter des jeune peut fréquentable. Au lycée il commença don à mettre un pied dans la petite délinquance.  

«  You promised the stone from your heart,  my head kissed the ground »
Continuant un peu plus à sortir du système, et de l’adolescent normal, Geoffrey restait le même gentil avec son amie d’enfance. Il parlait mal à sa mère et aux autres. Il insultait et n’avait aucun respect pour rien n’y personne. Ce premier amour avait révélait un jeune homme attentif, agréable et gentil. Cette jeune fille avait aussi démontré que Geoffrey pouvait être un homme romantique, plutôt proche du petit garçon qu’il était avant. Aimant passer du temps avec elle partageant sa passion pour la voile, ses rêves d’avenir. Peut-être que c’est parce qu’ils se connaissait depuis longtemps. Malgré tous l’amour qu’il lui portait, le jeune homme ne cessait de mentir par omission à sa petite amie. Comme il n’était pas dans le même lycée, elle n’était pas au courant des soirées trop arrosé, de sa mauvaise humeur et son flegme permanent. Elle ne connaissait pas ses amis qui le faisait boire et fumer et l’influencé malgré lui. Et finalement, elle ne savait pas que son amour pour elle lui faisait peur. Elle connaissait toute sa vie et pourtant elle ne savait pas qu’il avait peur, tellement peur de son amour pour elle. Il avait peur qu’elle le rende faible comme sa mère, peur d’être dépendant. Et quelque semaine avant de partir pour New York, Geoffrey reconnu qu’il était encore un gamin peureux et lâche. Il allait la quitter pour se protéger. Jamais il n’aurait cru que son géniteur l’enverra à New York et lui rendrait la chose facile. Lâche jusqu’au bout, il a fini par partir sans un mot, lorsque son père l’a exilé à New York.

« You’re a rolling stone boy, never sleep alone boy, got a million numbers and they’re filling up your phone »
Seul à New York en exile ; Geoffrey vivait dans un petit appartement de Brooklyn. Il travaillait dans un petit café. C’était un départ à zéro dans une nouvelle ville. Les premier mois il se forçait à être respectueux à defaut d’être gentil. Il s’était fait quelque pote qui prennait ses piques et ses remarques acerbes au deuxième degrés. Il passait du temps en dehors de son travail avec eux découvrant la ville. Et tout les petits coin qui faisait que New Yok était fantastique. Sa méchanceté se mis à s’adoucir et l’on pu presque croire que le petit enfant de diable deviendrai un ange comme son visage nous l’indiquait. Malgré tout un de ses amis de Boston était passé sur New York et l’avait trainé dans des bars clandestin. Les vieux démon du passé on ressurgit et Geoffrey se mit à trainer le soir dans des lieux peu fréquentable de la nuit nocturne de New York. Il récupéra un nombre improbable de numéro. Ses sourires coutaient de plus en plus cher.
A new York il développa deux personnalités, l’une : froide mais vivante la journée, et l’autre, implacable, manipulatrice, mesquine, joueuse et mystérieuse la nuit.

"I'm sorry that your son was once a thief, I'm sorry that grew up way too fast, I wish I would've listened and not be so bad"
Geoffrey avait toujours préféré être au calme, un brin casanier. Il était seul avec sa mère, peut- être que son père avait une autre famille, finalement la vie de cet homme ne l'avait jamais intéressé. Son petit coté solitaire, il le tenait depuis son enfance. Des qu'il y avait quelque chose qui allait mal, le petit Geoffrey se cachait dans son lit sous les couvertures et tentait de se boucher les orreilles pour être seul dans sa bulle. Il allait aussi se refugier chez son amie d'enfance. Plus tard il se mit à trainer énormément découvrant les recoins cachés de la ville, puis il passait énormément de temps sur le bateau qu'il avait hérité de son gand père. Geoffrey passait donc son temps seul à retaper le voilier. Et une fois à New York il resta toujours autant casanier. Peu de potes, beaucoup de temps passé à découvrir la ville et beaucoup de temps passé chez lui.
Malheureusement cette solitude l'avait grandement éloigna de sa maman. Le jeune homme c'était construit seul contre elle. C'était face à elle qui se mit à devenir méchant, il lui parlait de plus en plus mal. Il ne se confier plus à elle, mais l'avait-il déjà fait. Il s'était construit contre sa mère, car il détestait sa faiblesse, il détestait la femme pathétique qu'elle était devenu face à l'amour, l'impuissance dont elle faisait preuve face à l'homme qui était son géniteur. Il avait un esprit très étriqué et fermé face à ce genre de sujet. Les tromperies des hommes et des femmes, pour lui il était hors de questions de trouver cela normal... Sa vie nocturne de New York ne le faisait pas changer d'avis et certaines de ses rencontres le dégoutait un peu plus chaque jour de l'être humain. IL fréquentait et approchait les plus sombres secrets des êtres humains la nuit. Il participé à la dépravation de l'Homme, et lui aussi était aussi dégoutant que les autres. Au final il avait toujours eu une fascination pour les Hommes comprendre les travers de l'humanité et pourquoi certaines personnes resté pur était l'une des nombreuses questions qu'il se posait. Maintenant il se rendait compte que les tréfonds de la nature humaine lui avait fait perdre sa maman. Finirait-il comme elle c'était sa plus grande peur et sa plus grande faiblesse. Jamais il ne voudrai finir faible et pathétique à cause de l'amour.