DU/KP/Lambda - Hazel C. Koberwein

10/10/2015

Hazel Cajsa Koberwein
ID Card Age : 18 ans Date de naissance : 20 janvier 1997 Lieu de naissance : Kiruna, Laponie Suédoise, Suède. Statut civil : Célibataire Statut social : Ni riche ni pauvre: normale. Métier/Etudes : L1 Art de la mode, Audiovisuel, Histoire de l'art et Géographie Groupe : Kappa Pi, Delta Upsilon ou Lambda P.I ou Scénario : P.I Avatar : Lindsay Hansen Secret envoyé ? Ok By Rico Code: Lindsay Hansen [color=#ff0000]~[/color] Hazel C. Koberwein
Caractère Assise dans le fauteuil à bord d’un boeing qui l’emmènera jusque Stockholm pour commencer, Hazel a la boule au ventre. Elle est sur le point de quitter son pays pour l’Amérique afin de poursuivre ses études dans cette immense nation qui, mine de rien, lui fait un peu peur. Elle n’a jamais quitté le sol suédois, c’est d’ailleurs la première fois qu’elle se trouve à bord d’un avion et pour une première fois, son vol durera environs 17 heures. C’est énorme et elle devra faire preuve de patience, mais au bout de ce long voyage il y a une destination et une nouvelle vie qui l’attend. Elle sait que le changement de mentalité, de manière de vivre ou même de climat lui demandera de la patience et un effort pour s’adapter, mais elle ne part pas défaitiste. Hazel est confiante et c’est tout ce qui compte. Sa longue chevelure rousse cascade le long de son visage et ses grands yeux bleus turquoises sont posés sur un carnet. Elle essaie de passer son temps en écrivant ce qu’elle ressent, ce qu’elle pense et surtout ce qu’elle espère. Cette fille ne cesse de vivre dans l’espoir, parce qu’il parait que l’espoir fait vivre et son carnet l’aide à avancer, à mettre de l’ordre dans sa tête, dans ses pensées. Je ne suis pas une globe-trotteuse, j’aime la stabilité, mais parfois il faut faire des choix et des sacrifices. Le mien aujourd’hui est de laisser la Suède derrière moi. C’est pas simple, mais j’y crois, je suis optimiste. Je connais l’Amérique par les livres, via Internet et de part les images. C’est grand, c’est beau, c’est presque irréel, mais c’est différent. Je n’ai pas l’âme d’une aventurière, mais je me doute que je devrais faire preuve d’adaptation. Je devrai prouver que je suis là pour avancer et passer à autre chose. J’ai promis à mes parents de ne pas rester enfermée dans mes livres, dans la musique ou dans le stylisme qui est ma passion. J’ai promis de m’ouvrir, mais de faire attention à moi, je voudrais rencontrer des gens, me construire tout doucement mais ce n’est pas aussi simple. Je suis une jeune fille ennuyante, parce que je n’aime pas forcément les mêmes choses. Je ne suis jamais sortie en boite, je ne bois jamais d’alcool et je ne fume pas. Certes, le stylisme est important pour moi, mais je n’aspire pas non plus à devenir une grande créatrice de mode comme le sont Vivienne Westwood ou Donatella Versace, ou comme l’était Coco Chanel et Nina Ricci. Je veux juste avoir mon petit monde, ma petite bulle et faire ce que j’aime sans gagner des millions, sans être célèbre, sans non plus devoir parcourir le monde à la recherche de la gloire. Je ne cours pas les rues à vouloir dépenser le moindre dollars que je possède, je ne saute pas partout, je ne cours pas après le temps, je suis assez calme et je ne parle pas pour ne rien dire. Je n’aime pas non plus parler de moi, parce qu’il n’y a pas beaucoup à en dire. Je ne fais pas partie de ces filles qui savent qui elles sont, ce qu’elles valent. Je ne leur en veux même pas, je pense qu’il en faut, des filles comme elles, mais moi ce n’est pas mon cas. Je suis simple dans ma tête, je suis simple physiquement et j’ai mes propres pensées. Mon point fort reste la créativité. J’aime créer, j’aime laisser mon esprit divaguer, j’aime le faire parler à travers le tissus, à travers les cordes de ma guitare. Picasso a dit un jour que le problème pour un enfant était de rester artiste une fois adulte: moi je prends ça pour un défi et un challenge. Pas très glorieux ni très courageux je vous l’accorde, mais pourquoi prendre des risques alors qu’on n’a qu’une vie ? On peut vivre simplement sans forcément jouer avec sa propre vie et celle des autres et je vous promets qu’on peut même s’épanouir. J’ai un problème, je suis naïve. J’ai tendance à me faire des films rapidement bons ou mauvais, mais plus souvent bons que mauvais. Je me hâte parfois trop tôt alors que rien ne prouve la réalité, rien ne me prouve que ce que j’espère se réalisera. Ca me joue des tours, parce qu’aussitôt je tombe de haut. Il me faut un petit temps pour me remettre en question, pour réaliser que c’est de ma faute, que je n’aurais pas dû prendre les choses trop à coeur. Mes parents ne cessent de me dire de faire attention, d’arrêter de fabuler trop facilement parce que je me raccroche à tout ça et puis je suis déçue. Ca ne m’enlève jamais le sourire trop longtemps ; je suis optimiste et je me relève à chaque fois, mais je ne suis pas intouchable pour autant. Quand j’étais petite, j’aimais que mon père m’emmène faire des balades en chien de traineau à la recherche des aurores boréales. C’est un phénomène que l’on voit souvent chez moi et je me surprenais à me coucher dans ce grand manteau blanc, admirant les aurores faire leurs danses kaléidoscopiques. Enfant, je pensais que c’était l’au-delà qui essayait de nous transmettre des messages. C’était magique, parfois j’ai encore envie de croire que là-haut, les êtres qui nous sont chers essaient de nous dire ô combien ils nous aiment. C’est complètement niais, mais ça aide à accepter certaines disparitions. Ca ne vous étonnera pas vraiment, mais ma saison préférée reste l’hiver. Certes il fait froid, chez moi il fait près de -40 degrés Celsius, mais c’est à cette saison que tout change, que la Laponie prend une grande importance. En hiver, tout est calme et immobile, les nuits polaires sont les plus belles, mais les plus froides et pourtant je ne m’en lasse jamais. En janvier, le soleil ne se lève jamais et de février à la mi-mars, il ne fait clair que sept ou huit heures et puis en été, c’est le soleil de minuit pendant deux mois et jamais on ne voit la nuit tomber. C’est magique et en plus ça porte bonheur aux amoureux. J’aime mon pays et je crois que la vie à Boston va me changer. Je n’ai jamais vu de plage, je n’ai jamais pu observer de coucher de soleil assise sur le sable avec le va et vient de la mer. Je rêve de connaitre ça un jour. Chez nous, on a le Kaamos qui est un temps où la lumière polaire offre un spectacle étonnant, où le ciel est bleu quand on regarde au nord et rouge dans le sud. Tous les jours vers 2 heures de l’après-midi, il arrive un moment bleu où tout, le ciel, la neige, devient bleu pendant 15 minutes. Ce phénomène naturel unique ne se produit qu’ici et ne peut se rencontre nulle part ailleurs dans le monde. Vous comprenez aussi que j’aime la montagne, puisque je ne connais pas la mer. J’ai appris à y faire des randonnées et même de l’escalade. Je ne suis pas une alpiniste de compétition, mais tous ces sports d’hiver me plaisent et font de ma vie une véritable partie de plaisir. J’aime ma famille et je suis une personne qui a tendance à être protectrice envers eux. Je ne cherche pas à être meilleure que ma soeur, parce qu’elle est miss parfaite et ça a le don de m’énerver. Ce n’est pas de la jalousie, c’est juste que depuis vingt ans, elle ne cesse de se comporter comme ça et on ne sait pas l’arrêter. Elle aime bien montrer que je ne vaux pas beaucoup à côté d’elle, mais on s’y fait avec le temps. Avec les garçons, je suis un peu plus réservée. Pas timide au point de ne pas oser leur adresser la parole, mais je n’ai pas la tchatche facile non plus. J’ai déjà eu des histoires d’amour dans ma vie, mais ça n’a jamais duré très longtemps. Sans doute que j’en attendais trop pour pouvoir vraiment être épanouie. Je n’aime pas précipiter les choses et les histoires d’un soir ne me disent rien. Je veux avoir confiance et malheureusement, j’ai confiance trop facilement. J’espère un jour tomber sur celui qui me prouvera qu’on peut encore croire aux belles histoires et qui m’épanouira. Peut-être que j’ai un caractère pas facile entre mon côté râleuse et fabulatrice. Peut-être que je suis un peu trop jalouse aussi, que je suis parfois un peu trop franche. Je ne sais pas, j’aimerais comprendre, un jour…
Histoire Le vol jusque Stockholm s’était bien passé, Hazel s’était occupée un peu comme elle pouvait : en écrivant, en dormant, mais elle savait que le pire était à venir. Elle avait maintenant son vol jusque New-York et ça n’allait pas durer une heure ou peut-être deux ou trois, non ça allait frôler les dix heures de vol et pour ça, elle devait être prête psychologiquement. Maintenant, qu’elle a passé quelques petites heures dans un avion, elle savait très bien ce que ça allait lui faire d’y passer autant d’heures, mais elle était prête, elle avait même hâte de se retrouver sur le sol Américain. New-York, qui ne rêve pas de s’y rendre un jour ? A nouveau, Hazel est installée dans un siège de l’avion. A ses côtés, il y avait un enfant dont les parents se trouvaient juste devant. Ceux-ci se retournent de temps en temps pour s’assurer que tout se passe bien pour leur petit garçon et Hazel, elle, elle lui sourit, puis écrit de nouveau … Les vastes étendues de Laponie rendent l’homme tout petit, me rendent toute petite aussi, mais moi je connais, j’y ai vécu. Arpenter seul ces grands espaces, est le moyen idéal pour réfléchir et même pour trouver sa place dans la vie, savoir ce que l’on veut vraiment. La nature est un merveilleux recours contre l’anxiété et la confusion qui parasitent l’esprit de l’être humain, vous saviez ? L’idée de pouvoir se promener dans la nature sauvage, l’esprit vide de toutes pensées néfastes est sans doute ce qui fait que la Laponie reste un endroit exceptionnel où se réfugier. Je trouve que le sentiment de ne faire qu’un avec cette nature est l’un des plus intenses qui puissent se ressentir. Comme pour tout, il faut sentir et voir par soi-même pour comprendre, mais croyez-moi, c’est beau, envoutant, magique. Les mots manquent souvent pour décrire ce que l’on éprouve lorsqu’on est au sommet d’une montagne et qu’un paysage magnifique s’ouvre devant nos yeux : l’émotion nous donne la chair de poule et tout ça, ça se passe de mots. Moi je suis née entourée de tout ça, j’y ai vécu, j’ai grandi et je me suis construite dans cet endroit, celui que je vous décris un peu plus haut. Mes parents s’y sont rencontrés au cours d’une expédition. Ils ont été charmé, totalement envouté par cette région qu’est la Laponie. Ils s’y sont mariés et puis ils ont eu une première fille. Ma sœur est trois ans plus âgée que moi et je ne m’entends pas avec. Je ne me suis jamais entendue avec, parce que d’aussi loin que je me rappelle, elle a toujours fait en sorte de me montrer qu’elle était mieux que moi, que je n’étais rien à côté d’elle, que je ne valais rien et que je n’étais même pas aimable, ni regardable. Quand j'eus cinq ans, ma mère a accouché de mon petit frère, j'étais tellement heureuse, j'avais promis à ma mère d'en prendre soin et de le protéger tout au long de ma vie... Mon père est éleveur de huskies, mais aussi musher. C’est à dire qu’il est meneur de chiens de traineau pour des randonnées l’hiver. J’ai toujours été en contact avec ces chiens, je crois que ce sont les seuls que je connaisse vraiment, les huskies. En Laponie on ne voit que ça. J’aime ces bêtes, elles sont courageuses et puis tellement attachantes. Quand j’étais petite et que j’ai commencé à aller à l’école, j’ai intégré un internat. En Laponie, les écoles ne sont pas vraiment reconnues, c’est à peine s’il y en a, alors il faut se rendre plus loin pour pouvoir être scolarisé, d’où les internats. J’y ai appris l’histoire, la géo, les sciences, les mathématiques et aussi la religion et les langues, mais les enfants Lapons étudient aussi des matières plus laponnes afin de les aider à s’intégrer à leur vie de société, comme l’artisanat. On y apprend parfois un métier manuel, parce que rares continuent jusqu’à l’université. Moi j’y ai appris la cuisine, mais je savais qu’après je ne m’arrêterai pas à ça, je voulais aller plus loin. Plus petite je rêvais déjà d’être styliste, parce que malgré tout j’avais beaucoup d’admiration pour ma sœur. Elle est tellement belle, elle faisait attention à elle, à ses vêtements. Pourtant, ce que j’imaginais et dessinais ne lui plaisaient jamais, mais elle restait une source d’inspiration. A l’école j’étais pas trop mauvaise, j’étudiais ce qu’il y avait à étudier, je faisais mes devoir et je ramenais des bonnes notes à mes parents. J’avais toujours hâte de rentrer chez moi, surtout pour les vacances de Noël. C’est ma période préférée, parce que mon père m’emmène à chaque fois faire un tour en traineau, avec les chiens. A l’école, j’avais des amis, mais ils ne comprenaient pas toujours ma façon d’être, mon goût pour toute cette nature qui m’entoure, pour le dessin. Parfois j’étais trop simple d’esprit pour eux. A mes douze ans, j’ai appris l’escalade et partir avec des amis en randonnée, c’était quelque chose qui me tenait aussi à cœur. On installait des tentes et on se laissait bercer par la beauté de notre région. Avec mon petit frère, j’aimais passer du temps, allongée dans l’épaisse couche de neige à regarder le ciel étoilé, parfois animé par les aurores. Je lui racontais des histoires alors qu’il n’avait que dix ans et il y croyait dur comme fer ; Il était mon petit rayon de soleil. Il y a un an, alors que j’avais 17 ans et lui 12, on est partis faire un tour avec un voisin de l’âge de mon frère, alors que l’hiver touchait doucement à sa fin. Près de chez nous, il y a un grand lac et durant les grandes gelées, on s’amusait dessus. Ils voulaient absolument y retourner, mais je leur avais interdit. Mon téléphone a sonné et la conversation que j’avais au bout du fil semblait bien plus intéressante que mon petit frère et le petit voisin. Ils ont fini par aller sur ce lac gelé, pour y jouer. Moi j’ai rien vu, j’ai juste entendu le brisement de la glace et des cris étouffé. La glace commençait doucement à fondre sur ce lac, les températures se réchauffaient, on revenait vers des températures positive alors avec le poids des deux garçons ça a cédé. Je ne savais pas quoi faire, parce que si j’y allais, étant plus lourde qu’eux, j’y passerais aussi. J’ai crié pour qu’on vienne m’aider et un garçon d’à peu près mon âge a accouru pour me venir en aide, mais l’eau était tellement froide que mon frère et le voisin arrivaient à peine à bouger. Il a lancé une corde pour essayer de les tirer, mais à force de bouger dans tous les sens, c’était impossible, beaucoup trop de temps est passé et aucun des deux ne s’en est sorti. J’étais effondrée. Aujourd’hui encore je m’en veux, j’ai l’impression que l’amour que je porte à une personne est maudit, alors j’évite d’aimer. J’évite d’apporter ma poisse. C’est une douleur encore bien présente, c’est psychologiquement très difficile de culpabiliser pour la mort de son frère, mais pourtant c’est un fait, c’est de ma faute. J’aurais dû les surveiller, ma mère me l’a répété plusieurs fois. C’est dur à vivre, mais il faut être responsable de ses actes… . Est-ce la raison de mon départ ? Non, mais ça y contribue un peu. J’ai l’espoir de vivre autre chose, de penser à autre chose et d’essayer de trouver la paix avec moi-même. Essayer d’être quelqu’un de meilleur… Hazel met un point final à ses écrits. Elle a su mettre sur papier tout ce qu’elle a besoin d’extérioriser. Ecrire qu’on est responsable de la mort de son frère, c’est dur, c’est douloureux, mais le penser sans l’extérioriser l’est encore plus. Elle se trouve désormais dans l’avion qui la mènera à Boston. Elle voit la fin de ce voyage, elle a pu profiter de New-York une heure ou deux, de l’aéroport du moins. Les américains pensent différemment, ils vivent différemment, mais ça lui plait déjà. La jolie rouquine ferme son carnet et le fourre dans son sac à côté d’elle. En levant les yeux, il y a ce garçon. Un garçon qui ne la laisse pas indifférente et qui l’empêche de détourner le regard. A son tour il l’a regarde, ou la voit. Dans sa tête, le film se fait déjà, elle ne peut rien y faire. Le pire c’est qu’elle y croit. Ce garçon l’a regardé, il a posé ses yeux sur elle, son attention plus de cinq secondes. Ils se rendent tous les deux à Boston, mais le plus important pour elle, c’est qu’il l’ait regardé parce que maintenant, elle peut commencer à rêver …
A propos de toi Pseudo : Lolo' Age : Ca dépend des jours Comment as-tu connu le forum ? J'ai des autres persos déjà Veux-tu un parrain/marraine ? Non non, ça devrait aller. Une remarque à faire ? Code de validation : L'animal que j'aime le moins : Les pigeons - Code donné par Shishi

Invité

Alors alors, moi je la vois bien chez les KP pourquoi ?

Parce que sa passion c'est le stylisme. Le stylisme, et je parle en connaissance de cause puisque je suis styliste Cool

/pan Forcément ça reprend plusieurs aptitudes artistiques: le dessin, la couture, l'assemblage des couleurs, le maniement des tissus. Bref, tout ça c'est artistique. Elle doit faire preuve de créativité, elle doit chercher l'inspiration dans quelque chose, ici apparemment c'est sa soeur. On apprend l'histoire de l'art, mais elle elle l'a choisi en plus de ce qu'elle aura déjà en stylisme. Elle en vient même à citer Picasso, elle fait de la guitare aussi donc pour tout ça elle doit faire preuve de créativité qui est quand même un mot-clé important dans l'art.

Elle aime aussi la nature, mais elle ne parle pas vraiment d'une manière générale, juste de la Laponie. Les aurores boréales, elle risque pas d'en trouver à Boston, les montagnes non plus, la neige elle aime, mais je pense qu'à côté de ce qu'elle avait en Laponie, son intérêt ne sera pas aussi fort Rolling Eyes

Elle a pas de penchant pour l'humanitaire non plus donc voila, moi je la vois plus KP que DU. J'essaie de rester objective évidemment, mais des avis d'autres admins seraient les bienvenus pour pouvoir aider en objectivité je pense DU/KP/Lambda - Hazel C. Koberwein 1131367136

DU/KP/Lambda - Hazel C. Koberwein 1131367136

16/09/2015

Je sais pas si j'ai le droit, mais je suppose qu'en tant que chef des super DU, je peux hm??

Je suis relativement d'accord avec ce qu'a dit Ninou, et malheureusement, j'ai ce truc qui me dit "Lindsey, Fawn, Delta Upsilon" mais d'un autre côté, j'ai lu entièrement sa fiche (first time *^*) et j'ai adoré mais la n'est pas vraiment le sujet.

Elle aime la Laponie. On a compris. Elle adore les aurores boréales, les chiens de traîneaux, la neige et tout le tralalaa mais c'est vrai que comme le dit Ninou, c'est pas à Boston qu'elle retrouvera tout ça.. Après, dans le caractère, elle est gentille, quoi qu'un peu "simple d'esprit" aux yeux des autres (je ne fais que citer)..

Elle met beaucoup en avant le stylisme, et soit je confonds avec une autre fiche soit j'ai vu, le mot guitare quelque part.. Les Kappa Pi, lui conviendrait sans doute mieux, même si ça m'tue de vous dire ça!

La couleur des DU aurait été à la perfection à son nom!

Voilà :3

Invité

Bon ben du coup comme on est d'accord toutes les deux, je la mets KP <3

» DU KP Lambda Jade Watson
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