AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Rechercher
 
 

Résultats par :
 
Rechercher Recherche avancée
Derniers sujets
» 07/10/2019 A tous ceux qui liront ce message
Ashton - PBP EmptyLun 7 Oct - 19:14 par Kenneth Xander

» Demande de partenariat
Ashton - PBP EmptyVen 26 Fév - 20:51 par Invité

» 16.02.16 - LE FORUM FERME SES PORTES.
Ashton - PBP EmptyJeu 18 Fév - 15:51 par Miss Petunia Garner

» Flash | ft. Lily-Rose Rivest
Ashton - PBP EmptyLun 15 Fév - 21:05 par Lily-rose F. Rivest

» Never say goodbye because saying goodbye means going away and going away means forgetting (Ninette ♥︎)
Ashton - PBP EmptyLun 15 Fév - 20:27 par Isobel W. McCoy

» Mon Voisin Du Dessus (MVDD)
Ashton - PBP EmptyDim 14 Fév - 17:55 par Invité

» À quoi te fait penser ce mot
Ashton - PBP EmptyDim 14 Fév - 17:55 par Invité

» Le changement, c'est maintenant !
Ashton - PBP EmptyDim 14 Fév - 12:18 par Shivani K. Shukia

» Une rose à dix
Ashton - PBP EmptyDim 14 Fév - 12:11 par Isobel W. McCoy

Points confréries
Delta Upsilon — 825 pts
Kappa Pi — 777 pts
Sigma Nu — 535 pts
Delta Gamma — 510 pts
Pi Bêta Phi — 300 pts
Thêta Xi — 60 pts
Vidéo
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez
 

 Ashton - PBP

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
avatar
Invité
MessageSujet: Ashton - PBP   Ashton - PBP EmptyJeu 17 Sep - 19:58

Ashton Drew Myers


I.D Card

Age : 17 y.o
Date de naissance : 31 Août 1998
Lieu de naissance : San Francisco
Statut Civil : Célibataire
Statut Social : Aisé
Métier/Etudes : Etudiant
Classe : Senior Year, pour les options, je verrai plus tard.
Groupe : Pi Beta Phi
P.I ou Scénario ? P.I
Avatar : Douglas Booth
Secret envoyé : A remplir par un admin


Get out of my mind


A LIRE, please ! :

---------------------------------------------

La curiosité est un vilain défaut, et tout le monde en souffre, même toi. Et aujourd’hui, si tu es là, c’est que comme beaucoup avant toi, tu veux jouer à « Devine qui je suis », et tu ne seras certainement pas déçu. Si tu t’ennuyais, tu es tombé au meilleur des endroits. Ce qui t’attends, c’est à toi de le découvrir, et pour ce faire, tu n’as plus qu’à pousser cette porte.

Te voilà dans un hall d’entrée. Pas le tien, un au style ancien, plongé dans la pénombre. Seule une bougie brille au coin de la pièce. Pourtant ton regard ne s’arrête pas dessus, ni sur le lustre fantaisiste, mais bien sur cette enveloppe, à cause de ce Invité écrit à l’encre bleue dessus. N’ayant pas de choix, tu la saisis.

« Chèr(e) Invité,
Bienvenue dans mon petit jeu de piste. Tout au long de ta visite, tu seras confronté à quelques petites énigmes et jeux, avec comme récompense une chose de plus à mon sujet. Bon deal, pas vrai ? Tu devras déambuler dans la maison comme sur un plateau, chaque case t’étant accessible dès que tu trouves la réponse de la pièce où tu es. Bon courage à toi !

PS : Pour accéder au salon, il te faudra découvrir la réponse à la question suivante : On ne me trouve pas partout, et il y en a pour tous les goûts. Des grands, des petits, et très vite je suis sali. Et peu importe ma forme, les pieds me déforment. Qui je suis ? »


La porte du salon s’ouvre alors et un filet lumineux perce les ténèbres. Il fait grand jour et l’imposante fenêtre éclaire l’entierté de ce salon au style néo-gothique, à l’image de ce qu’on pourrait aisément trouver dans une maison victorienne d’époque. Tes yeux balaient la salle à la recherche d’une enveloppe, comme tu t’imagines en trouver, mais rien. Juste la télé, seul élément moderne, qui finit par s’allumer. Sur un fond bleu, écrit en majuscules blanches : « CHOISIS UN CHIFFRE »
La télécommande sur le côté t’apparaît comme une évidence et tu la saisis. De 0 à 9, tu as le choix, sur lequel appuieras-tu ?
(ndlr : Un seul essai, peu importe le résultat, tu devras ensuite continuer)


0
- 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9

Tu n’as pas besoin de faire beaucoup d’efforts pour ouvrir la porte de la salle à manger, puisque celle-ci n’était pas verrouillée. Tu appuies sur la poignée, et ouvre la porte avant de tomber sur une grande salle, tout en longueur avec en son centre une très longue table en bois de chêne. Au milieu, un chemin de table dans un tissu fin et doré. Une table déjà bien dressée, pouvant accueillir au moins huit convives. Un grand tapis de velours se situe dessous, et de part et d’autres sur les murs des chandelles pour éclairer la pièce. Rien de très folichon, mais tu remarques cependant que chaque assiette comporte sa ou ses petites étiquettes. Sur chaque étiquette, un mot, qui au final constitue une phrase. Reconstitues-là, et la solution s’offrira à toi.

« papier » « gauche » « Le » « l’ » « sous » « assiette » « table. » « trouve »  « du » « se » « de » « côté » « la » « milieu » « du »


Le meilleur endroit d’une maison : la cuisine. Il y a toujours quelqu’un prêt à concocter un petit plat. Des bonnes odeurs qui affluent, une chaleur réconfortante. Un endroit convivial, plein de vie… Et comme tu t’y attends, un faitout repose sur le gaz, une planche à découper avec des légumes qui n’attendent qu’une chose : être trempés dans l’eau chaude. Tu arrives au beau milieu d’une préparation, dans une cuisine en désordre et tu commences à désespérer en te demandant comment tu vas trouver l’indice de cette nouvelle énigme qui t’attend. Naturellement, tu commences à faire le tour de la pièce et à ouvrir toutes les portes de tous les placards, sans succès. Des allers et retours, tu en fais, et à chaque fois tu repasses devant ce fameux frigo. Le message précédent te stipulant de ne pas y toucher, tu continues tes recherches en vain, jusqu’à ce que tu n’aies plus le choix : c’est le seul endroit où tu n’as pas fouillé, ce fameux frigo. Sur le coup, tu te demandes ce qu’il y a dedans, un mélange de stress et d’appréhension t’envahit. La porte s’ouvre, et la lumière s’allume automatiquement. Tu constates alors que le frigo est totalement vide, à l’exception d’une petite boîte, juste sur l’étagère du milieu. Deux trois coups d’œil autour de toi, et tu finis par la prendre, la curiosité étant plus forte. A l’intérieur pourtant, c’est la déception, il n’y a rien qu’une petite clé à tête triangulaire. Te voilà bien, et tu commences à chercher à quelle serrure correspond cette clé. Pas la porte pour la prochaine pièce, celle-ci nécessite un code. Tu essaies tous les placards, puis finalement c’est celui du fond, celui que tu avais oublié, que tu n’avais pas remarqué. La clé s’insère parfaitement dans la serrure, le déclic se met en marche et tu peux enfin découvrir ce qui se cache derrière cette petite porte en bois de chêne. Et là surprise : deux morceaux de papiers. Le premier est plié en deux : ta récompense, et tu t’empresses de la lire.

« Je vois que la curiosité est un vilain défaut, un très vilain défaut. Il est le seul capable de fournir le courage, même au plus faiblard, pour entreprendre ce qui est défendu. Mais bon me diras-tu, tu n’as fais qu’ouvrir un frigo ? Ça aurait pu être bien pire. Et ne t’inquiètes pas, il ne t’en tiendra pas rigueur, puisque monsieur, sous ses airs indifférent reste un humain, et lui aussi est très curieux. Mais sa curiosité est toute autre. Il la cultive pour mieux s’en servir derrière. Ce n’est sans doute pas parce qu’il sera intéressé par toi, qu’il cherchera à savoir ce que tu caches au plus profond de toi, mais pour mieux te poignarder derrière s’il en ressent le besoin. Autant il n’attaque pas verbalement, n’humilie pas les autres, autant il est aussi fourbe qu’un renard. Il encaisse et emmagasine pour mieux manipuler, et mieux prendre le dessus, car si vous vous en souvenez bien, il a horreur de ne pas avoir la situation au creux de sa main. Il ne sera donc curieux que par intérêt, ne vous méprenez donc pas. Il ne pose, sinon, jamais aucune question, ou en tout cas, jamais du genre « ça va, t’as passé un bon week-end ? » non ça il s’en fout. Ce ne sont que des banalités qui n’ont rien à voir avec le genre d’informations qu’il cherche à récolter. Lui, ce n’est que pour s’en servir plus tard. Mauvais joueur et mauvais perdant, il n’hésite pas à tricher, à user de fins pas très fair play pour parvenir à ses fins. De toutes manières, il se fiche bien de savoir si ça va atteindre l’autre. Il ne ressent aucune compassion envers autrui, et ne sera donc pas le moins du monde gêné de faire un coup de pute dans le dos. Après tout, ce n’est pas comme si personne ne savait comment il était. Il ne se sent donc pas le moins du monde redevable, envers personne. Il n’a de comptes à rendre à personne, et si généralement il agit, c’est parce qu’on sera venu le perturber. Vous n’en avez donc rien à craindre, si vous oubliez qu’il existe. C’est la meilleure chose à faire pour que tout se passe bien. En cours, si vous avez le privilège d’être dans sa classe, mieux vaut ne pas le déranger la non plus. Il faut bien qu’il s’occupe l’esprit le monsieur, et les cours sont le meilleur moyen pour lui de canaliser sa concentration sur autre chose. Il est studieux, sérieux, et ne fait que ça uniquement pour se cultiver, pour avoir de bonnes études, et encore une fois être au-dessus de tout le monde. Pas lèche-cul pour autant, ni tête brulée, il se repose sur des acquis, sur son sens de la logique et sa mémoire. Autant dire, il se fie beaucoup à sa tête, considérant qu’il est plus intelligent que la normale. Ce qui est faux, il est juste plus observateur, posé et réfléchi, et tourne sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Il n’aime pas beaucoup les erreurs, et est parfois très exigeant envers lui-même pour atteindre cette perfection qu’il croit pouvoir le rendre invincible. Mais envers et contre tout, il ne le sera jamais, il a tous les défauts du monde, et reste un humain, ce qui par définition veut dire être imparfait. Allez, petit curieux, saisis l’autre carton, si tu veux filer, on va attaquer la partie la plus intéressante. Du moins si tu es une fille. »


Le deuxième petit carton est en papier glacé, et tu l’attrapes de tes deux doigts. Inscrit dessus, quatre petits numéros, et tu déduis que c’est le code pour la porte qui mène à la chambre, ta prochaine étape, alors tu t’empresses de taper 3108 sur la petite machine et te voilà dans une chambre. Impersonnelle. Pas de posters, pas de couverture fantaisiste. Une chambre d’hôtel. C’est très neutre, et on devine difficilement qu’un étudiant de son âge y dort. Ce n’est pas une antre d’adolescent, tout est beaucoup trop soigné, rangé, parfait. Et pourtant, c’est la chambre du jeune homme. Le bureau, parfaitement organisé, donne l’impression que jamais il ne s’y attable, et pourtant. Un petit tour d’horizon et tu trouves cependant l’erreur, la tâche dans le décor, une pile de feuilles. Des déchirées, des roses, des dessins… Bref, des petits mots qui ont du sans doute atterrir dans son casier et pour une raison inconnue, n’ont pas encore fini à la poubelle, ce qui aurait du être fait, selon toi. Mais voilà, c’est la clé de la prochaine énigme. Toutes ces déclarations parsemés de petits cœurs rouges, certaines parfumées, d’autres calligraphiées avec soin. Toutes des filles qui ont jeté leur dévolu sur le jeune homme. Au final, tu te rends compte que toutes racontent la même chose, et tu commences à te demander si ça n’était pas un leurre, pourtant sur la dernière un petit post-it y est collé. « Alors Sherlock, trouve la solution si tu veux découvrir la note cachée dans cette pièce. » Ce qui indique que la réponse se trouve dans la dite lettre, sur laquelle est écrit :

«  La raison de cette lettre, tu ne peux que déjà la connaître. Tu sais que je veux. On va pas se mentir. Je te trouve trop beau. Et devant les autres de la confrérie. Par la fenêtre, je t’observe. »


Si tu arrives à décoder le message, ta récompense t’attend, sinon, à l’arrière du post-il, un dernier mot t’es adressé.


La porte n’étant pas verrouillée, tu accèdes sans problème à la salle de bains attenante. Aussi blanche qu’un cachet d’aspirine, tu remarques néanmoins la grande baignoire, où tu rêverais te prélasser tranquillement, dans une eau bien chaude, avec un film palpitant. C’est une petite pièce, avec un grand miroir sur ta gauche. Dessus, au rouge à lèvres, tu y vois une inscription : « Ouvre-moi ! ». Sans plus attendre, c’est ce que tu fais.

« Ça va, pas trop dur cette fois-ci ? Tu as une chance d’obtenir une information gratuitement, histoire de ne pas repartir d’ici bredouille. Le miroir que tu as retourné, est un élément clé de la routine de ce jeune homme. Le seul conseiller qu’il accepte –et du coup son seul jugement. Il ne se sert du miroir que pour voir l’image qu’il renvoie, et millimétrer à la perfection son apparence –étant du genre maniaque obsessionnel- puisque c’est selon lui le meilleur outil pour traquer les imperfections. Et là nous restons dans une approche physique, et non morale, car comme tu as pu le remarquer, des défauts il en a un paquet. Et il est même difficile de lui trouver des qualités. Si nous pouvons applaudir sa rigueur, et son investissement dans ses projets, nous pouvons cependant dénigrer son tact et sa très étroite ouverture d’esprit. Il n’est ouvert qu’à ce qu’il apprécie, ce qu’il prône, ce qu’il respecte. Ce sont des valeurs sures, et dans son petit aspect routinier, c’est tout ce qu’il y a de plus logique.
On peut également saluer son ambition, qui parfois a tendance à devenir néfaste pour lui, tant elle est grande. C’est au final son seul leitmotiv : l’objectif qu’il s’est fixé, et peu importe comment, mais il compte bien y arriver.
Ce ne sont au final que deux qualités perdues dans les méandres de sa personnalité, qui est au final bien complexe, mais qui face au miroir ne laisse apparaître qu’arrogance et confiance. Toi qui dois certainement t’amuser à tester des grimaces devant ton miroir, lui ne s’en sert que pour jauger sa perfection. Pas dans le même monde hein ?
C’était un bien cours mot, je me doute que tu dois être déçue, mais rien n’est fini, la terrasse et le jardin t’attendent encore. »


C’est presque fini, et te voilà face à un dilemme. Coincé dans la salle de bains, comment atteindras-tu la terrasse, dont tu ignores la position. Réflexe premier, tu fais demi-tour repassant par toutes les pièces que tu as déjà visité et retombes dans le hall d’entrée. L’endroit le plus logique, et la solution qu’il aurait lui aussi choisie, pas adepte du « passer par la fenêtre ». Et c’est là que tu te rends compte qu’il y avait une autre porte, au fond du couloir. Tu la pousses et atterris sur la terrasse, qu’on qualifierait plus volontiers de véranda. Carrelage en damier blanc et noir, petites chaises en osier autour d’une table ronde en céramique. Pots de fleurs dans tous les coins, et lumière chaleureuse qui entre par les grandes baies vitrées donnant une vue imprenable sur le jardin. Endroit idéal pour bouquiner l’après-midi avec une tasse de thé bien fumante. Mais ce n’est pas le moment de rêver, il faut chercher le prochain indice et un mot sur la table t’interpelle.

« Il y a quatre rosiers. Choisis le bon, et tu auras la dernière explication. »


1 - 2 - 3 - 4

Si tu as trouvé, félicitations, pousse la porte qui te mène au jardin, et découvre la fin de ce petit jeu, assis confortablement sur la couverture soigneusement préparée.


Story of my life

31 août 1998 — San Francisco General Hospital.
S’il y a bien un lieu commun à tous les êtres humains, c’est bien l’hôpital. En règle générale, on y commence sa vie, tout comme on la termine, et Ashton ne déroge pas à la règle. C’est dans une chambre, très tôt dans la matinée, qu’il voit le jour, accueilli par un armada de médecin, sa mère et son père. Un beau jour pour tout le monde, que ce soit pour les parents, mais également pour les médecins. La naissance est toujours un événement heureux pour eux, le début d’une nouvelle vie, une réussite professionnelle. Le 31 Août promettait donc d’être un beau et long jour, avec successions de visites familiales à ne plus en pouvoir. Bref, un début de vie banal, donc il ne se souviendra jamais.
31 Août 2001 — San Francisco International Airport.
Des occasions comme celles-là, il n’y en a pas tous les jours. Ashton n’a que trois ans, mais son destin, grâce à celui de ses parents va changer. Il n’aura aucun souvenir de San Francisco, et devra s’accoutumer à la vie à Boston, là où ses deux parents seront mutés dans une grande entreprise de communication. Tous deux effectuant le même métier, après des études communes qui auront suscités leur rencontre, et leur union quelques années après, les voilà qui continuent leur chemin main dans la main. Ashton n’aura rien vu, ne sentira jamais la différence, et commencera vaillamment sa rentrée de petit écolier à la rentrée. Un souvenir, encore une fois, effacé de sa mémoire.
31 Août 2003 — Happy Birthday To You.
Ashton a aujourd’hui cinq ans. C’est grand cinq ans, tu sais marcher, parler, et Ashton étant légèrement en avance sur ses camarades, commençait déjà à vouloir lire à la place de sa mère, le soir au lit. Le lendemain il entrait en classe préparatoire, et voulait impressionner sa maitresse en lui montrant ses progrès. Il avait passé sa journée à lire en boucle l’aventure de T’choupi, pour s’améliorer, bien que le résultat ne soit pas à la hauteur de ses attentes. Aimé par deux parents fusionnels, il ne manquait de rien, et surtout pas d’amour. Les deux lui inculquant les valeurs de l’amitié, et de l’amour. Mais à son âge, il était encore un peu trop jeune pour comprendre, et se contentait de jouer à la marelle dans la cour de récréation avec ses amis.
2 Septembre 2003 — School Day.
C’est la rentrée en classe préparatoire pour Ashton. Il est fier, il a hâte, et oublie de faire un dernier câlin à sa mère avant de courir en classe. Il aime l’école, il adore apprendre, et surtout montrer qu’il est intelligent. Il admire sa maitresse et veut toujours lui prouver qu’il est doué, à l’instar de certains camarades déjà récalcitrants. Cette année encore, il partage la classe avec ses anciens copains de classe, mais avec un petit changement en prime. Une nouvelle. Deux petites nattes soigneusement faites, attachées de deux rubans rouges. De très jolis yeux bleus perçants, et une voix cristalline. Son nom : Suzy. Et accessoirement, la nouvelle voisine d’Ashton. Au début, ce dernier n’y faisait pas attention, ne considérant pas important de s’intéresser à elle. Elle était juste une voisine de classe gentille, studieuse, qui ne le perturbait pas dans son travail. Une camarade amusante, avec qui jouer pendant les récréations.
31 Août 2005 — Happy Birthday, Again.
Les années passent vite, et Ashton grandissait à vue d’œil. Toujours fils unique, il fêtait néanmoins cette année un anniversaire grandiose à la piscine de Boston, avec tous ses camarades de classe. C’était la première fois qu’on le lui autorisait, et tous les enfants s’amusaient comme des fous. Suzy était là, aussi. Deux ans, il aura suffit de deux ans pour que les deux finissent par devenir deux compères inséparables, unis comme les doigts de la main. Ashton, qui ne s’intéressait dès lors à personne, avait fini par s’attacher à quelqu’un. Et c’était bien la seule. Puisque dès tout petit, il montrait une forme de solitude assez étonnante pour un gamin de son âge, sans que ça soit inquiétant. Tout a fini par être mis sur le dos de la timidité, et sa complicité avec Suzy effaça toutes craintes qu’il soit toujours seul.
31 Août 2010 — 12 years old.
Rien de spécial n’est à noter depuis ces dernières années. L’école se déroulait toujours de façon calme, Ashton ramenant toujours de bonnes notes, sans incidents quelconques à rapporter. Aujourd’hui, c’était son anniversaire, et Suzy était toujours là, souriante,  à jouer un morceau de piano comme à son habitude, brillante élève au conservatoire. Inséparables, dans la même classe, Ashton n’a d’yeux que pour elle, et n’aura qu’elle comme connaissance fiable durant ses quatre années de collège. Rien à faire, il n’arrivait à accorder sa confiance à personne d’autre, et n’arrivait à s’intéresser qu’à elle, et rien qu’elle.
10 Novembre 2013 — I Kissed a Girl.
Ce qui devait arriver, arriva. Sans surprises, et ayant davantage muris, les adolescents prennent conscience de choses de grandes adultes. Alors qu’Ashton faisait encore « Beurk » deux ans en arrière quand ses parents s’embrassaient, aujourd’hui il avait fait le premier pas. Avec Suzy. Avec qui d’autre aurait-il pu ? Elle était tout, celle qu’il connaissait depuis toujours, celle vers qui toutes ses pensées étaient tournées. Ce qui était réciproque, sans grande surprise, la véritable histoire de deux âmes sœurs. Tout se déroulait à la perfection, vivant dans leur bulle bien fermée à quiconque voulait y entrer. Fusionnels comme jamais, ils faisaient déjà des plans sur la comète pour les années à venir, puisqu’évidemment Ashton était de ce genre à ne se conformer qu’à ce qu’il connaissait et n’était pas décidé à lâcher Suzy de sitôt.
13 Avril 2014 — How can I survive ?
Dans la vie, tout n’est qu’enchainements d’évènements. Prévus, imprévus, joyeux, tristes… Et Ashton avait toujours cru être maitre de son destin, dans les moindres détails. Il pensait maitriser les éléments et contourner la fatalité. Enfermé dans cette ligne de pensée, et dans sa routine, il n’avait cependant pas imaginer que la vie puisse être salope à ce point, le privant de ce qui était le plus cher à ses yeux.
Un an qu’il filait le parfait amour avec Suzy. Une longue année au paradis, qui s’écroula. En une journée, une heure, une minute. Certaines choses sont imprévisibles, irréversibles, et ce même quand on a des facultés hors du commun.
En ce 13 Avril, alors qu’il aurait du être ailleurs, Ashton colmatait dans une rue déserte de Boston, bouteille à la main, complètement détruit. La mort avait emporté Suzy. Et son enterrement était aujourd’hui. Incapable d’affronter la réalité en face, il avait erré sans but toute la journée, telle une âme en peine. Privé de la seule personne ayant de l’importance, il n’avait plus aucune raison de vivre, et avait fini sa journée misérable au poste de police, entouré de deux parents désolés, incapables de vraiment lui en vouloir. Dix ans d’une existence heureuse, qui prenait fin, et Ashton qui se demandait comment il allait pouvoir surmonter tout ça, n’ayant plus que ses parents pour l’épauler.
1 Septembre 2015 — Senior Year, Hello !
La vie poursuit pourtant son cours, et Ashton n’a toujours pas réussi à surmonter l’épreuve qu’on lui a confrontée l’an passé. Il entre cependant au niveau supérieur, vidé de toutes émotions, avec un seul et unique but : ne se préoccuper que de lui-même et ses propres objectifs. Sans aucune attache, il savait qu’il ne serait plus jamais blessé.


More about me ?

Pseudo : Sashette, Sashou, what else ?
Age : Toujours 21 balais
Comment as-tu connu le forum ? WHS powaaaa
Fréquence de connexion ? Aussi souvent que je peux, bon en ce moment avec le nouvel appart, internet n'est toujours pas de la partie, mais ça finira bien par arriver.
Veux-tu un parrain ? Je pense qu'à force de me voir débouler sous une nouvelle peau, vous devez vous douter que je m'en sortirai à merveille (a)
Quelque chose à ajouter ? Je vous aime, tous <3
Code du règlement : le nouvel album de BEAST *-*

Code:
Douglas Booth [color=#ff0000]~[/color] Ashton D. Myers


(c) Sashette
Revenir en haut Aller en bas
James P. Cobb Earend
James P. Cobb Earend
Lost But Not Stranded Yet
Disponibilité pour RP : Dispo
Featuring : Xavier Dolan
DC : Jae Ji Choi
Eoin Johnstone
Gwen E. Foster
Nikolaï A. Koslovski

Messages : 202
Who I am? : Logan and I Going Into an Adventure
People around me : It's A New Dawn, A New Day, A New Life for Me, And I'm Feeling Good !
CellPhone : Mes Messages
Relations : le parfait Logan Maxwell *-* <3
Date d'inscription : 14/06/2015
Age : 31
Localisation : Boston
MessageSujet: Re: Ashton - PBP   Ashton - PBP EmptyJeu 17 Sep - 22:16

Et bien je dois avouer qu'au départ je sentais un petit dilemme poindre quand à ce jeune garçon et puis au final, je me suis décidé. Ashton a tout d'un très bon Pi Beta Phi, il est rusé et manipulateur, il veut toujours être au plus haut, être populaire, ne s'entourer que des bonnes personnes. Ce qui aurait pu faire pencher la balance c'est son côté solitaire et qui va contre un esprit de confrérie mais au final, c'est un personnage très intéressant justement parce qu'il ne répond pas à certains clichés qu'on peut avoir sur les PBP, c'est aussi pourquoi ça serait dommage de le mettre chez les Lambdas alors, mon garçon je t'accueille les bras ouverts !!! Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
 
Ashton - PBP
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Casier d'Ashton D. Myers
» Mercurochrome & compagnie [Ashton]
» I'm not your friend, I'm not your family either || Ashton
» Le bracelet électronique d'Ashton.
» Viens jouer avec moi — Ashton

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Life in Boston rpg :: Conseils-
Sauter vers: