Nous Tomberons, Nous Rêverons Encore, A la Vie Comme à La Mort
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Jae Ji Choi
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Sujet: Revenge & Ice Skating [GwenZo *__*] Ven 15 Jan - 21:22
Revenge & Ice Skating
GwenZo *_*
Vengeance, Ô douce vengeance. J'espère Enzo Miller que tu n'as pas oublié que je te dois une petite vengeance non ? Parce que moi non, et puis je tiens toujours mes promesses c'est comme ça, même si ça fait quelques mois maintenant depuis ton accueil magistral à Boston, je crois qu'en cette période de fête et de célébrations il est temps de te rendre un peu la pareille. Oh rien de bien méchant tu sais, mais disons qu'il faut bien marquer le coup non ? C'est noël après tout. C'est noël alors il faut bien que Gwen Foster transmette sa joie de vivre aux autres et surtout à Enzo. Je suis sûre que rendus à ce point vous vous attendez tous à ce que je lui réserve un horrible tour. Mais non voyons je ne suis pas comme ça vous savez, je lui réserve juste une petite surprise, une surprise glacée, pas dans le style la Reine des Neiges mais plutôt dans le style « Passage du Col de Caradhras », c'est toujours mieux que ce que je lui avais dit la première fois : le plonger dans dans un baril remplit de poissons. Est ce que c'est mieux ? Vous verrez bien et lui aussi d'ailleurs, il sera même l'acteur principal.
Bon mes intentions ne sont pas que d'embêter M'sieur Miller non plus. Si il me pardonnait ma petite surprise je comptais bien l'emmener en ville pour voir les animations de noël, oh pas pour flâner et dire « Oooh qu'elle est belle la guirlande » à chaque coin de rues, non non mais pour s'amuser un et puis faire ce qu'on sait faire le mieux : des conneries. J'ai beau chercher, je n'arrive pas à me souvenir de beaucoup de moments où nous avons été sages lui et moi. Même quand nous étions petits nous étions déjà les deux petites terreurs des professeurs et à croire que l'âge ne nous a pas vraiment rendus matures. Les professeurs nous aiment toujours autant et des conneries ont en fait toujours à la pelle. Nos heures se comptent en jours et on peut dire que nous sommes dans les petits papiers de Garner. Enfin plutôt dans sa blacklist, ça tombe bien Toutankhamon fait aussi partie de la nôtre, surtout depuis qu'elle nous force à aller à des messes. Si c'est son trip les sermons qu'elle n'oblige pas les autres à partager ses fantasmes.
Bref tout ça pour dire que si avec Enzo on va faire un tour en ville c'est pas pour faire du lèche vitrine ni pour se raconter les derniers potins. Non non encore une fois que Boston se tienne prêt, vous ne savez pas de quoi nous sommes capables. Mais nous ne sommes pas encore rendus là. J'ai tout prévu, j'ai appelé Enzo hier pour savoir si il était libre en fin d'après-midi aujourd'hui, ça aurait été bête que je me pointe et qu'il ne soit pas là, l'effet de surprise est quand même moins réussi quand la personne n'est pas là. Mais non, pas de problèmes, Enzo est bien là demain après-midi, parfait tout ça.
Non je ne suis pas subitement devenue une folle totalement sadique, il n'y a rien de mal à faire une petite blague de temps en temps à un ami, un ami qui vous a kidnappé pour vous accueillir dans sa confrérie. Non ce n'est pas du sadisme mais de la franche camaraderie dirons-nous. Et pour mon acte de camaraderie il me fallait du froid, une bonne dose de froid et quoi de mieux que l'hiver bostonnien pour ça. Il y a tout ce qu'il faut à Boston à cette époque. Ça change de Chicago où il ne fait que pleuvoir tout le temps, au moins ici, il neige en hiver et c'est juste ce qu'il me faut, de la neige, beaucoup de neige, un bac remplit de neige.
Il est dix-sept heures trente, et je suis prête. Dans ma chambre je me suis habillée en conséquence, pull, bonnet, un jean bien chaud, des bottines et des gants, important les gants. Je ne prends pas le temps de me mettre trois tonnes de maquillages, je ne suis pas vraiment comme ça moi, le masque au fond de teins c'est pas le genre de la maison. Je sors discrètement du bâtiment des Sigma Nu avec un bac que j'avais emprunté à Eoin le patron de Enzo, complice de ma petite farce.
Armée de mon bac je m'éloigne un peu histoire de ne pas être à portée de vue de la chambre de Enzo, pas trop loin non plus il ne fallait pas que la neige fonde. Oui parce que maintenant mon bac est rempli de neige et je me précipite au bâtiment juste à côté de la porte de Enzo. Hors de sa vue quand il ouvrira la porte.
« ENZOOO ! Tu peux m'ouvrir s'il te plaît ? J'ai les bras chargé ! »
Trois, deux, un, Enzo sort de sa chambre, interloqué et se retrouve subitement couvert de neige de la tête aux pieds. « SURPRISEEE » dis-je hilare alors qu'il s’ébroue de toute la neige. « La vengeance est un plat qui se mange froid qu'ils disent, je suis vraiment désolé d'avoir ça au pied de la lettre Enzo. »
Voilà le genre de farces que peuvent se faire Enzo Miller et Gwen Foster, si l'un kidnappe l'un, l'autre répond en lui renversant une tonne de neige sur la tête. Quoi de plus normal ? Je ne vois pas où est le problème. Me ressaisissant je fais un grand sourire à mon ami qui devait bien se les geler pour le coup. Je reviens sur ce que j'ai dis plutôt, je suis peut-être un peu sadique, mais c'est une preuve d'amitié de ne pas oublier ses promesses non ?
« C'est à mon tour de te kidnapper mon ptit monsieur »
Je lui laissais bien entendu le temps d'aller se sécher et de se changer, je n'allais pas le traîner dehors alors qu'il devait être un peu glacé, j'espérais qu'il ne m'en voudra pas trop, mais bon après tout je suis sûre qu'il attendait cette vengeance de ma part de puis un petit bout de temps. Quand il fut de retour, je lui annonçais le programme.
« Après cette charmante introduction et tu notera que je fais des efforts de mise en scène, j'espère que tu as un bon sens de l'équilibre parce que je t'emmène patiner un petit peu. Enfin pas faire des super pirouette en body comme aux JO mais bon s'éclater un peu quoi ! » Ce à quoi j'ajoutais un grand sourire. « Partant Mister ? »
J'attendis sa réponse puis je l'entraînais hors du bâtiment en direction de la patinoire qui avait été installée pour l'occasion des fêtes. Je sais que ça peut être une très mauvaise idée de nous faire patiner, vu les conneries qu'on seraient capable de faire mais qu'est ce que vous voulez on ne se réinvente pas, faut bien qu'il y en ai pour se faire remarquer…
Disponibilité pour RP : Yep. Featuring : Zico (Wu Ji Ho) DC : Lee Hae Hyuk — Ashton D. Myers — Frank Earend — Nicholas Tompkins — Gemma Osborne Messages : 191 Who I am? : Un opportuniste, qui profite de la vie, et le chef des Sigma Nu, accessoirement. Et Cornerback chez les YB, alors si tu me cherches, j'te plaque People around me : La famille, les amis, les ennemis, bref la smala au complet. Social Network : J'suis pas Facebook, Instagram et compagnie. Les selfies c'est réservés aux narcissiques, et encore selfie, si c'est égal à se prendre en photo que l'menton... Mais j'ai un casier. CellPhone : J'te préviens, ce numéro est à joindre en cas d'urgence, ou si on a un minimum de choses en commun. Ceux que j'aime pas, je réponds pas Relations : - Ami d'enfance de Gwen Foster
- Protecteur de Seung Joo, tu touches un d'ses cheveux, t'es mort, pigé ?
- Sous le tutorat d'Hanaé Nguyen
- Travaille pour Eo-w-yn ! Date d'inscription : 14/06/2015 Age : 27 Localisation : Dans ton cul.
Franchement, même si je ne suis pas forcément un amoureux des grandes températures polaires, je dois bien admettre que la neige me fait retourner en enfance. Cela fait quelques jours déjà, qu’ils annoncent qu’une belle couche de neige allait recouvrir Boston, et faire de notre petite ville une boule à neige, comme on s’amusait à secouer comme des cocotiers étant gamins. Et j’étais plutôt impatient, parce que j’avais en tête toutes sortes d’occupations pour meubler mes journées. Je savais que dans ces périodes, il y avait des chances que nos journées de cours soient suspendues, en raison de profs n’ayant pas réussi à dégeler leur bagnole, ou tout simplement bloqués. Et c’était une raison de plus d’aimer la neige. Le seul hic dans cette histoire féérique, c’était que Garner était un véritable tank de l’armée allemande, elle venait par tous les temps, qu’il vente, neige ou pleuve, qu’elle soit malade, contagieuse et dégoulinante. Bref, il y avait malheureusement toujours une chance de la croiser, même quand tu crois être tranquille.
Seulement, cette année, j’avais investi dans une idée tout à fait charmante, qui allait me valoir de nombreuses lettres de menaces, haines et que sais-je, mais je m’en fichais particulièrement. Ma petite idée du jour, que je comptais bien mettre en œuvre incessamment sous peu, était de furtivement, avant que la nuit ne tombe et que les températures chutent fortement, arroser la cour qui mène à l’entrée du bâtiment principal. Pour les petits savants qui ont bien suivi leur cours me comprendront sans que j’aie besoin d’aller plus loin, mais pour les ignares, il y avait de forte chance que ça devienne une véritable patinoire au lever du soleil. Une occasion parfaite, pour assister à la plus belle compilation de chutes de tous les temps. Et surtout une occasion pour moi de filmer ces remarquables acrobaties et d’en monter un film pour le diffuser à une soirée SN, une bonne bouteille de binouze en main. En clair, j’allais mettre le campus les quatre fers en l’air, en priant attraper le gros lot : Garner. Rien de tel qu’une vidéo dossier dont elle ne se remettra jamais, et sans doute une fêlure du coccyx qui l’empêchera de venir nous importuner pendant un mois ! Un plan prêt à être mis à exécution, et qui me faisait tout simplement frémir d’impatience. Mais ça ne viendrait pas tout de suite, nous n’étions que le matin, et il faisait tout juste assez froid. Assez froid, pour que quand j’ouvre les volets de ma chambre je découvre avec joie qu’il avait bien neigé, et que ça continuait à tomber. On ne voyait déjà plus la couleur gris macadam, et Boston ressemblait à un décor de carte postale de pays nordiques. J’étais content, et ultra motivé, prêt à secouer toute la confrérie pour une partie de boule de neiges épique.
Mais il était sept heures du matin.
Et à sept heures du matin, chez les Sigma Nu on dort profondément, on est pas collé à la fenêtre comme un gamin devant le sapin de Noël, émerveillé. Et c’était bien ce qui me différenciait de bon nombre de mes membres : j’étais un lève-tôt ! Je n’y pouvais rien, et ça ne me dérangeait pas, j’avais souvent plus de temps que les autres, et je n’arrivais jamais en retard. Chose dont je pouvais au moins être fier.
Voir toute cette neige me ramenait en enfance, et la voir tomber me rappelait ces nombreux matins avant Noël où mon père venait me réveiller pour que je puisse assister à la première neige. S’en suivaient de nombreuses parties à trois de batailles de boules de neige, ainsi que de constructions de bonhommes de neige. Maintenant, ils étaient bien trop occupés pour ce genre d’activités –et je ne pouvais certainement pas leur en vouloir- alors je trouvais du réconfort en la compagnie de mes très chers collègues.
Ce matin, pourtant, pour faire passer le temps et parce que Garner allait débouler d’un jour à l’autre, je m’occupais, assis en tailleur sur le pouf de la salle commune de la confrérie, de la paperasse. Travail de chef, que je devais transmettre à Garner, mais aussi surtout à Nathan, notre nouveau référent. Il avait beau être le chef des chefs, il ne pouvait pas savoir en détail ce qu’il se passait dans nos locaux, et je doutais fort que ça soit vraiment son genre. Néanmoins, pour lui épargner du travail inutile, je me contentais de continuer cette tâche, bien qu’harassante, à sa place. Souvent, ça me prenait un peu plus de deux heures, mais avec les fêtes j’avais pris un retard considérable et toute ma motivation s’envola en voyant la pile de feuilles s’amasser devant moi. Quelle idée d’être dans la confrérie la plus dynamique aussi ! Franchement ! J’en venais presqu’à envier les Thêta Xi, qui ne devaient coûter qu’en papier des arbres, pour leur culture personnelle. Pourtant, je me voyais mal là-haut, cancre de toujours.
Ma matinée se passa donc dans un calme religieux, et mes collègues ne commencèrent à s’éveiller que vers les coups de midi, alors que j’avais déjà enfilé mon sandwich, et qu’ils n’avaient en tête qu’un bon bol de café. Déphasage bonjour. Pourtant, pour ne pas subir toutes les fortes têtes et mauvaises gueules pas du matin, je partais continuer mes petites affaires, dans ma chambre, en prenant soin de bien verrouiller ma porte.
En résumé, ma journée fut remplie par le travail et autres bricoles diverses et variées, mais en sachant que Gwen me réservait quelque chose, je savais que j’allais pouvoir me détendre, et peut-être –enfin- profiter de la neige. Elle m’avait demandé la veille si j’étais libre en fin d’après-midi, ce qui était le cas, mais à avoir laissé mon empreinte de fesses sur la même chaise, j’en avais oublié de me préparer, et j’étais juste un sac en pyjama, avec une coiffure tel l’as de pique. Rien de plus accueillant, alors je me préparais pour prendre une douche.
« - ENZOOO ! »
Merde. Déjà là. J’évaluais la situation. Mon t-shirt était en boule sur le sol, j’étais donc torse nu, mes chaussettes en boule dans le panier, qui me servait à foutre le linge sale, je me retrouvais pieds nus, il ne me restait que mon bas de pantalon. Tenue adéquate ou non, sa voix se faisait pressante, alors je me faisais violence, et m’approchais de la porte.
« - Les bras chargés de cadeaux j’espère ! »
Je posais ma main sur la poignée, et l’abaissais. Et là, plus rien. J’entendais juste un SURPRISE du fin fond de mon subconscient, mais tout le reste n’était que sensation de mort imminente. Par hypothermie s’il vous plait. Celle-là, je ne l’avais pas vu venir, et je ne m’étais jamais rendu compte à quel point la neige pouvait être froide. En temps normal je suis le salaud qui vient en glisser dans le cou, mais jamais j’avais fais l’expérience en hiver, presque pas habillé.
« - Tu sais, les Ice Bucket Challenge c’est déjà passé de mode, mais tu marques un point, je l’avais pas vu venir, celle-là. Prépare-toi juste à le regretter ! »
C’était de bonne guerre, comme toujours, mais je me promettais de me venger, ne pouvant pas laisser ce crime impuni.
« - Tu m’excuseras, mais là j’ai besoin d’une douche bien chaude, j’aimerais pas attraper la pneumonie, si tu vois ce que je veux dire ! Au passage, tu en profiteras pour éponger, la neige ça fond ! »
Enzo et la perspicacité : un. Mais c’était surtout pour voir si elle était capable de vraiment passer la serpillère derrière sa connerie, qui allait légèrement humidifier le sol. Mais en attendant, j’allais prendre la douche dont je rêvais, puis m’habillais pour sortir, assez chaudement, avant de retrouver Gwen qui m’attendait de pied ferme.
« - Sache que mon équilibre est parfait ! »
Ce qui était totalement faux. J’avais rarement fais du patin dans ma vie, et il allait bien falloir que j’admette que j’étais fini. Mais bon concernant les pirouettes, au moins y avait moyen de négocier.
« - Partant ! Tu sais très bien pourtant que j’adore voir les gens chuter ! Et je compte sur toi pour me faire rire ! »
Parce que oui, je comptais davantage sur le fait que ses fesses soient en contact du sol, que sur le fait que ça soit moi qui finisse avec une belle paire d’hémorroïdes en guise de punition. Du coup, nous prenions la direction du parking, et de ma célèbre gadget mobile, pour nous rendre plus facilement au centre-ville. Au passage, je profitais qu’elle marche devant moi, pour former une petite boule de neige et lui envoyer dessus, avant de courir tel un gamin vers ma voiture. Voiture, qui au passage était aussi gelée qu’un glaçon. Je mettais le chauffage à fond, et sortais mes raclettes de ma boîte à gants, avant d’en lancer une vers Gwen.
« - REFLEXE ! »
Puis me mis face à mon pare-brise.
« - J’espère que t’as autre chose que de la guimauve dans tes bras, parce que si tu veux qu’on décolle d’ici, va falloir que tu m’aides à dégivrer tout ça. Sauf si tu préfères le bus. »
En espérant qu’elle ne me dise pas « oh oui », parce que j’avais les transports communs en horreur. Heureusement, ça allait plus vite que prévu, et nous arrivions sagement à destination, et je m’impatientais de voir ses talents sur la glace.
« - Dis-moi, cette proposition c’est parce que t’es devenue une Candeloro en puissance durant mon absence ou bien ? »
Parce que sournoise comme elle était, et parce qu’elle me ressemblait, elle pouvait très bien m’emmener là dans le seul et unique but de se foutre de ma gueule. Mais au fond, qu’est-ce que ça changeait ? Même quand tu savais bien patiner, suffisait d’un trou du cul qui sait pas faire un pas devant l’autre pour te faire chuter, et ce même si t’es capable d’un triple axel retourné pour esquiver la chose.
Au moment de lacer mes chaussures, je regardais les gens tournoyer sur la piste. Certains frimaient, et allaient à l’envers, manquant de renverser tout le monde au passage et d’autres tu les voyais, puis, tu les voyais plus. C’était un festival, le tout sur de la musique populaire tout droit sortie des radios les plus torchons de tous les Etats-Unis.
« - Allez, c’est parti mon kiki ! »
Je montais sur la glace, et comme à chaque redémarrage, j’avais l’affreuse sensation de marcher sur des œufs, alors je m’accrochais à la rambarde, bien moins confiant.
« - Je suggère qu’on laisse la course pour plus tard, montre-moi plutôt comment tu tombes ! »
Et chose étonnante, ça ne m’arriva pas comme une conjuration, je restais droit et en équilibre, bien que je doute que ça dure.