What can I do for you, uh ? Le titre qui sort de nulle part, bonjour.
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Lee Hae Hyuk
Kappa Pi
Disponibilité pour RP : Toujours :P Featuring : U-Kwon DC : Ashton D. Myers — Enzo Miller — Frank Earend — Nicholas Tompkins — Gemma Osborne — Alexis T. Hoffman Messages : 136 Who I am? : Un coréen de vingt-deux ans, qui a sa propre histoire, son propre caractère et qui est pas forcément là pour se faire des amis. Qui cherche pas à devenir forcément quelqu'un. Qui a tout perdu, mais qui cherche à tout récupérer. Un gars avec un passé, un présent mais en quête de son futur. People around me : La bonté s'efface et se perd, et tomber sur celui qui sera ton allié n'est qu'un coup du hasard, un signe que tout n'est pas perdu. What I've done : Le futur est fait de rencontres, d'incidents, d'évènements, mais surtout de souvenirs et d'expériences. La vie, malgré les obstacles et ses coups du destin parfois fatals, se vit pour chaque instant, pour découvrir, connaitre et se sentir vivre, tout simplement. Where I'm going : Social Network : A l'époque, il y avait les messagers, les pigeons voyageurs, les courriers, mais aujourd'hui il y a les mails, les réseaux sociaux. On s'y fait, on s'y habitue, même si on a toujours une boite aux lettres devant la porte, pour la pub et autres courriers déplaisants. Mais moi, je me suis limitée à un casier. CellPhone : La technologie, ça permet d'avoir ses amis dans sa poche. Les appeler quand t'es dans le fond. Les joindre, en tous lieux, toutes situations. La magie du téléphone. Relations : - Colocataire et complément de Jae Ji Choi.
- Amélioration croissante avec Seung Joo
- Harper
- Jake, le partenaire de jeu implacable. Date d'inscription : 12/06/2015 Age : 32 Localisation : Boston City.
Sujet: What can I do for you, uh ? Le titre qui sort de nulle part, bonjour. Dim 14 Juin - 10:39
Lee Hae Hyuk
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Age : 23 ans. Date de naissance : 6 Juin 1992. Lieu de naissance : Busan, Corée du Sud. Statut Civil : Célibataire. Statut Social : Aisé. Métier/Etudes : M3 en Littératures. Groupe : Kappa Pi P.I ou Scénario ? P.I Avatar : U-Kwon Secret envoyé : √
Caractère
« La gentillesse est le langage qu’un sourd peut entendre et qu’un aveugle peut voir. » Mark Twain.
- Approchez ! Approchez ! Comme happés par la foule, les gens déambulent, interpelés de tous parts par les forains. Grands hommes dynamiques, ils n’hésitent pas à crier plus fort que le voisin pour attirer l’attention. Le but premier : être le plus fort, commercialement parlant. Vendre. Gagner. Et ça marche. Des intéressés s’arrêtent aux stands, discutent de la marchandise, le sourire aux lèvres.
Et c’est ça que respire cette manifestation : de la joie. Des rires, des sourires. On distingue les enfants, tenant fermement leurs ballons dument gagnés, des parents, responsables des gargantuesques barbes-à-papa. C’est un festival de personnalités, un lieu chaleureux aux couleurs chatoyantes. Le cirque.
A l’image de ce grand spectacle, toute la place de la ville de Busan a été exploitée, redécorée dans ces tons si familiers : le rouge et jaune, synonyme d’amusement et de fête.
Le spectacle final finit par être annoncé, suivi d’une musique entrainante ainsi que de la foule, compacte, qui se rue vers le grand chapiteau. Un clown fait office de vigile et déchire un à un chaque ticket qui lui est tendu, et ce jusqu’à ce que la salle soit pleine. Chaque participant possédant désormais sa place, assise, les plus chanceux se trouvant au premier rang.
L’excitation règne, notamment chez les tous petits, qui ne tiennent plus en place et qui ne manquent pas d’acclamer bruyamment le clown, qui vient de prendre place au centre de la scène. - Bonjour les enfants ! Applaudissements, cris de joie, le spectacle démarre sur une bonne note et ne cesse d’épater les spectateurs du début à la fin. - Pour ce dernier tout, il me faudrait un volontaire. En une demi-seconde, une volée de bras s’élève dans les airs, accompagnés de « Moi ! » déterminés. Le clown semble ravi de voir tant de motivation de la part des participants, mais il a déjà repéré son volontaire. Ses yeux se posent sur un petit garçon, au premier rang, qui contrairement à ses voisins de siège a gardé le bras baissé. Timide, agrippé à sa mère telle une moule accrochée à son rocher, il reste de marbre, et ce même quand le clown lui tend son imposante main. Hésitant, il finit par la saisir, poussé par sa mère, et très vite il devient le centre d’attention. Il ne sait pas ce qui l'attend, et il a peur. Mais la peur s’estompe très vite quand il voit un singe, déguisé, arriver vers lui. La peur se transforme en fascination. Le singe fait preuve d’agilité et d’adresse, sous les yeux contemplatifs du jeune garçon, qui ne peut détourner son regard de cet animal rigolo. Un moment qui restera gravé à vie dans sa mémoire. Tout comme cette opportunité d’avoir pu prendre dans ses bras l’animal, et se voir offrir un sourire de cette personne si amusante, si confiante : le clown.
Désormais encadrée, la photo repose sur le mur de la chambre du garçon, qui dès lors la voit continuellement, chaque matin, et chaque soir, à chaque venue dans sa chambre. Tous les jours, il la voit, et tous les jours il sourit en repensant à ce moment. Tous les jours, tous les mois, et tous les ans, alors que son apparence change peu à peu, tandis qu’une bouille d’enfant reste figée sur ce papier glacé. Il a désormais quinze ans, et cette photo n’est plus qu’un vestige, un souvenir dont il n’arrive pas à se séparer, qu’il a laissé accrocher là sans jamais la toucher. Un moment heureux qu’il ne veut pour rien au monde oublier.
Ce jeune homme, il s’appelle Lee. Lee Hae Hyuk. Il est originaire de Busan en Corée du Sud, pour ceux qui se demanderaient d’où sort ce nom improbable, et y vit toujours, lui et sa mère. Son père, il ne l’a jamais connu, il ne se souvient pas de lui, et il ne sait pas où il est. Encore en vie, parti après de grandes périodes de conflits avec sa femme, il n’a plus jamais donné de nouvelles dès lors, ce qui n’empêche pas au jeune Lee de chercher à savoir qui est son père.
Globalement, malgré cette absence qui a influé sur son éducation, Lee a toujours vécu dans le bonheur le plus total, surprotégé par sa mère, qui lui donnait tout l’amour dont elle disposait, et Lee ne s’en est jamais plaint. C’est par ailleurs grâce à cette complicité et cette épaule sur laquelle pleurer, qu’il en est là aujourd’hui. Fort, confiant, et prêt à tout pour donner le meilleur de soi-même. Ambitieux, et très optimiste, Lee est aujourd’hui face à une situation qui changera sa vie pour bien des années à venir. Une audition. Depuis toujours, Lee aime la musique, aime chanter, aime danser, et grande nouvelle, une grande agence coréenne, la Stardom Entertainment, recrute pour composer un nouveau boys band, occasion unique qu’il ne peut louper. Recommandé par ses professeurs de musique, il est aux premières loges, et n’a plus qu’une seule mission : charmer le jury pour espérer devenir un nouveau membre du futur groupe BCB. Déjà populaire et attendu par de nombreuses fanbases, il sait ce que ça impliquera d’être choisi : changer radicalement de vie. Mais c’est ce qu’il veut, c’est ce qu’il aime, et la chance lui tend aujourd’hui les bras, et qui sait, peut-être que son père le remarquera.
- L’heure est enfin arrivée, celle d’annoncer qui sont les sept membres qui seront officiellement membres de BCB.
Lee avait tout donné, il était fier de sa prestation, mais beaucoup étaient sacrément doués et méritaient tout autant que lui d’avoir une place et cette simple pensée l’angoissait. Echouer si près du but, il ne le supporterait pas. Le manager commençait à énumérer les noms un à un, et chaque nom qui n’était pas le sien l’éloignait un peu plus de sa victoire.
- Et enfin, le dernier choisi : Lee Hae Hyuk.
Les yeux fermés, mains jointes fermement sur son micro, Lee ne réagit pas tout de suite, et se surprit lui-même quand on l’appela une deuxième fois. Sous le choc, mais à la fois très heureux, il prit la direction de l’estrade et rejoignait ainsi ceux qui allaient devenir ses nouveaux alliés, ses nouveaux amis, sa nouvelle famille. Un autre souvenir, qui encore aujourd’hui le comble de bonheur, rien qu’à ressentir à nouveau cette sensation extraordinaire qu’il avait ressenti en entendant son nom ce jour-là. Cette satisfaction d’avoir accompli quelque chose, quelque chose de grand.
Sa mère avait été très fière, oh ça oui, et elle faisait en sorte d’assister le plus souvent à ses premiers concerts, leurs débuts, et l’aidait à jongler entre vie privée et célébrité. La notoriété était un cadeau, qui pouvait très bien devenir empoisonné. Epié, regardé, le moindre faux-pas n’était pas toléré. Mais ça il le savait, et tout se passa très bien durant les cinq années qui suivirent. Devenu une icône de la K-Pop, connu en Asie, et au-delà des frontières, il vivait une vie de rêve. Concerts, rencontres avec des fans, émissions, tournages de clips, participations dans des dramas et surtout voyages avec ses six compagnons de toujours, son groupe, ceux avec qui il est le plus proche, et avec qui il s’entend à merveille. Plus rien ne semblait les arrêter, et les BCB étaient sur le point de faire leurs débuts au Japon, en enregistrant leur premier single, quand un terrible incident arriva.
Un indicent qui bouscula la vie de Lee, et l’entraina au fond du fond.
L’insurmontable ne l’est jamais réellement, quand on a des proches sur qui compter pour aider à passer le cap, à oublier, à vivre avec, à redevenir fort et se dire que tout n’est pas fini, que tout continue. Et Lee avait la chance infinie d’avoir sa mère et les BCB pour l’aider dans ces durs moments. En une nuit, il avait tout perdu. Tout. Sa place au sein du groupe, et surtout son audition. Devenu sourd, il avait du subir de nombreux tests médicaux et avait du se résoudre à quitter ce qui était le plus cher pour lui, et d’ailleurs il n’avait plus la force de repenser à tout ça. Pendant les premiers mois qui suivirent ce terrible événement, il avait refusé de voir toute personne venue prendre de ses nouvelles. Il s’était enfermé dans un mutisme profond, et avait plongé dans une grosse dépression. S’en suivirent de nombreux rendez-vous chez le psy, une rééducation totale, l’apprentissage du langage des signes et tout ce qui s’en suivit. Longue période durant laquelle la communication était devenu la hantise de Lee. Incapable de comprendre son interlocuteur, et désormais malentendant, il n’était même plus apte à sortir ne serait-ce qu’un son. Symptôme post-traumatique, paraissait-il. Mais après tout, qu’est-ce que ça pouvait lui faire, même s’il pourrait à nouveau chanter, lui ne pourrait jamais plus s’entendre… C’était une bien sombre période pour Lee… Mais comme toute tempête, le calme suit à tous les coups, et à coup de remontants, il a fini par se remettre, non sans l’aide de tous ses proches.
Deux ans. Il s’était écoulé deux ans depuis ce triste jour, et Lee était redevenu ce simple coréen, dont on se souvenait toujours, mais qui refusait de reparler de son passé, qui voulait juste apprendre à vivre avec le futur. Pourtant, le passé court toujours plus vite que vous, et il a fini par le rattraper, de façon inattendue. Son père avait été localisé. Et autant dire qu’en ayant tout perdu, Lee ne souhaitait plus qu’une chose : le retrouver. Il n’avait plus aucune responsabilité, plus aucun rôle à jouer, juste à vivre sa vie, et en l’occurrence aller la continuer à Boston, là où son père résidait actuellement. Il quittait tout du jour au lendemain, mais pour une chose qui lui tenait à cœur, un nouvel objectif qui lui donnerait la force de se battre, de continuer à se dire qu’il avait encore quelque chose à accomplir dans sa vie. Son optimisme était loin de l’avoir abandonné, et il était persuadé que tout allait s’arranger. Le départ et les séparations furent bien évidemment difficiles, mais pour lui c’était la seule solution pour tout recommencer, repartir de zéro et enfin tourner la page.
Lee a désormais vingt-deux ans, étudiant à l’université de Boston, résidant dans un petit appartement de banlieue, en compagnie d'une de ses plus belles rencontres. Il est là pour son père, mais surtout pour se reconstruire. Aujourd’hui, c’est un nouveau Lee, déterminé et motivé.
Histoire
« Dossier du patient 201, Lee Hae Hyuk.
Surdité profonde par traumatisme acoustique. Première exposition, qui a entrainé une surdité progressive, jusqu’à surdité profonde nécessitant traitements médicaux à vie, et apprentissage obligatoire du langage des signes. La surdité est parvenue suite à un choc, le patient a vingt ans, encore sous le choc, mais en bonne santé. Rétablissement rapide en prévision, bonne et rapide prise en charge du patient. Rétablissement psychologique nécessitant des séances en psychologie régulière, pendant au moins un an.
Médecin ayant prit le patient en charge, Mr Park. »
Sans appel, la décision du destin et de la vie avait condamné Lee a ne plus rien entendre. Et pour le moment, il était hors de question pour lui de porter un appareil. Lee aura beaucoup de mal à accepter sa surdité. Enormément, et rejettera pendant trois mois les rendez-vous chez le psy, qui aujourd’hui sont essentiels. Il continue de prendre des séances régulières, mais le cache, pour ne pas inquiéter ses proches, qui pensent qu’il a enfin tourné la page. Ce qui est loin d’être le cas, mais le psy est la seule personne avec qui il peut encore en parler, la seule qui sache véritablement ce qu’il s’est passé, et la seule qui l’aide à apaiser ses maux, qui viennent le hanter toutes les nuits.
Des rebondissements comme cela, ça ne s’oublie pas aussi facilement, et Lee a depuis des tendances paranoïaques, ainsi que de forts troubles du sommeil, qu’il soigne à coup de somnifères. Ce sont deux trois détails déplaisants qui ruinent relativement son quotidien, mais il essaie de le cacher derrière une façade : un large sourire, et un optimisme à toute épreuve. Il ne veut plus souffrir, et il cherche désespérément le chemin qui le mènera à la délivrance. Pas du genre à baisser les bras, ces séances sont la façon de dire qu’il continue à lutter, pour se débarrasser de ses démons à tout jamais, et avoir déménagé à Boston l’a quelque peu apaisé, même si ça ne s’effacera sans doute jamais. Cependant, personne ne devait jamais savoir, il était juste un coréen, venu chercher son père, ainsi que reprendre des études en littérature. Ecrire des bouquins, raconter des histoires, vivre à travers des personnages… C’était devenu une passion, un rêve de substitution. Il avait abandonné totalement la musique, blessé à l’idée que c’était sa vie, mais que désormais ce n’était qu’un passé révolu. Mais il n’avait pas abandonné cette idée de continuer à être lui-même. Un garçon joyeux, loyal, un peu tête-en-l’air et maladroit, et surtout un être humain qui vit avec son handicap comme étant une force, et une preuve que ça n’est pas un lâche, mais bel et bien un battant, qui en veut. Et d’ailleurs, il n’hésitait plus à en jouer, -ce qui était encore tabou et impensable il y a deux ans.
L’Amérique, c’est pas trop mal pour le moment, les gens avaient juste une tendance évidente à se comporter de façon trop réductrice, et Lee avait à son arrivée du faire face à quelques petits malins qui n’acceptaient visiblement pas sa façon d’être. Sa façon d’être un coréen par excellence. Celui qui n’a pas peur d’exprimer ses goûts vestimentaires, peut-être marginaux pour le commun des mortels. Celui qui n’a pas peur de foutre de l’eye-liner, parce que ça souligne le regard, qui n’hésite pas à se prendre en selfie en faisant un V avec ses doigts. Bref, à être comme il a toujours été, et même s’il vivait dans un autre pays, il n’allait pas changer.
- Alors le chinois, ça te plait Boston ?
Regard de travers, après avoir lu sur les lèvres du jeune homme qui n’avait pas hésité à articuler, sans pour autant connaître le problème de Lee. Stupide. Le jeune coréen ne se laissait pas faire pour autant et tenta d’expliquer sa situation en agitant ses bras. « Je suis coréen connard. » Tenta-t-il de se défendre, mais visiblement le langage des signes n’allait pas le sauver.
- Ils sont fous ces chinois !
Continua à s’exclamer l’autre, et Lee n’avait plus qu’une solution : la réponse universelle, celle qui causait à tout le monde, un beau doigt d’honneur. Message plein de poésie, qui au moins avait eu son effet, et avait repoussé l’ennemi loin de là. Et d’ailleurs heureusement qu’il n’avait pas cherché à répliquer. Lee était parfois un peu tête brulée, et franc, n’hésitant pas vraiment à dire ou plutôt à montrer ce qu’il pensait. Parce que Lee ne voulait pas changer qui il était.
Actuellement blond platine, presque mi-longs, ses cheveux ont, comme pour la plupart des asiatiques, été teints. Et jamais rien ne l’empêchera de se les teindre en rose demain s’il le souhaitait. Ca lui plaisait, et ça faisait parti de sa personnalité : prendre soin de lui. Etre au top de la mode –coréenne, précisons parce qu’elle est toujours plus particulière-, ne pas hésiter à oser de nouvelles choses, et à se trainer avec un portable dernier cri, outil indispensable. Lee n’était pas du genre à aimer son apparence, parce qu’il se trouvait beau, mais parce qu’il aimait juste bien paraître. Et par ailleurs, pouvait-on vraiment dire qu’il était beau ? Certains vous diront que oui, d’autres qu’il a une face de cul, mais ça encore c’est subjectif. Pour certains, suffisait de deux yeux bridés pour être considéré comme un vilain petit canard. Et les yeux de Lee ne différaient pas de ceux de ses semblables. Bruns noisettes profond. Rien d’étonnant donc, tout comme le reste. Lee restait un gars ordinaire, qui faisait ressortir tel ou tel détail, mais qui laissait les autres se faire leur propre opinion par la suite. Ce que pensait les autres, ce n’était pas de son ressort. Mais ce qu’il faisait de lui, oui, et ça, personne ô grand jamais, n’aura le dernier mot sur ce que lui souhaite, et sur ce que lui aime. Puis au pire, il pouvait bien ignorer, après tout, il avait une bonne excuse.
A propos de toi
Pseudo : Sashette/Sashou Age : 20 ans. Comment as-tu connu le forum ? Cette histoire risque d'être très longue à raconter Fréquence de connexion ? Le plus souvent possible. Quelque chose à ajouter ? Et bien non, mise à part le fait que je vous aime HAHA <3 Code du règlement : √
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Soon: Nikolaï A. Koslovski Messages : 145 Who I am? : A Brigh Red Rose Who Comes Bursting Out of the Concrete. People around me : They Are Green or Red... Well Red or Red in fact... What I've done : Relations : Lee Hae Hyuk -> Grand ami/Essentiel *-*
Seung Joo Park -> Pillier de ma vie
Maïa R. Hope -> Muse
Iris E. S. Min -> Pride & Prejudice...
Date d'inscription : 12/06/2015 Age : 29 Localisation : Boston Yeaah
Sujet: Re: What can I do for you, uh ? Le titre qui sort de nulle part, bonjour. Dim 14 Juin - 11:34
Félicitations !
« Tu es validé(e) C'est un vrai plaisir de relire cette fiche vraiment *-* Rien à redire de plus que ce que j'ai déjà dit, cette fiche est parfaite et que j'aime ce personnage et que j'ai hâte de faire tout plein de rps avec lui Encore félicitations à toi et je te souhaite tout plein de bons moments avec ce personnage ! »
Tu peux désormais aller faire ta fiche de liens, ainsi que répertorier tes futurs RPs. Mais tu as aussi désormais accès à tout un tas d'autres topics. Demander un rang, mais aussi un logement et l'adhésion à une confrérie si ton personnage est un étudiant. A toi d'aller te renseigner et lire les différentes histoires de nos confréries pour mieux les comprendre. Tu pourras par la suite te renseigner sur les cours qui ont lieu à l'école, les options ainsi que les clubs et comment y adhérer. Néanmoins, si jamais tu as la moindre question, le staff sera toujours là pour te venir en aide, donc n'hésites pas à leur envoyer un MP si jamais tu es dans une impasse ! Bon jeu parmi nous <3
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