Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà !
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Nicholas Y. Tompkins
Kappa Pi
Disponibilité pour RP : OUUUUUUI :D Featuring : Yang Yo Seob DC : Ashton D. Myers — Enzo Miller — Frank Earend — Ashton D. Myers — Gemma Osborne Messages : 36 Who I am? : Un p'tit gars avec un grand coeur. People around me : Mon souffle, ma vie. Where I'm going : Relations : - ALAYNA *O* <3 Date d'inscription : 23/06/2015 Age : 27
Sujet: Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà ! Mar 23 Juin - 20:39
Nicholas Young Tompkins
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Age : 16 ans. Date de naissance : 20 septembre 1998. Lieu de naissance : Seoul, Corée du Sud. Statut Civil : En couple Statut Social : Moyennement aisé. Métier/Etudes : / Classe : Senior Year, à la rentrée. Options : musique et photographie. Groupe : en fait, Kappa Pi (a) P.I ou Scénario ? P.I Avatar : Yang Yo Seob Secret envoyé : Ok By Rico
Histoire
- Tu es sur de n’avoir rien oublié ? - Oui m’man, sur, ça fait trois fois que tu me le demandes. - Au pire, chérie, on peut toujours lui envoyer par la poste s’il a oublié quelque chose, ce n’est pas un problème. - Oui, mais tu te rends compte, s’il en a besoin tout de suite. - Maman ! Je ne vais pas à la guerre, juste à Boston dans une nouvelle école. - Je sais bien, mais c’est la première fois que tu pars loin, sans nous. - C’est pas à Tombouctou que je vais, mais à Boston, vous pourrez toujours venir me voir le week-end, puis moi en vacances, c’est pas si loin maman, puis promis je t’appellerai tous les soirs pour te raconter ma journée !
Bien que cette dernière phrase ait pu la calmer, intérieurement, elle était tout sauf sereine. Cela faisait pourtant bien un mois que la décision avait été prise, et la mère du petit Nicholas refusait d’admettre que son fils allait partir pour Boston dans quelques jours, en indépendant, vivre sa vie avec sa petite amie, la jolie Alayna. Bien sur, ils étaient surtout heureux qu’il se soit enfin ouvert aux autres, qu’il soit heureux, et qu’il vive comme un adolescent de son âge. Qu’il fasse ses propres expériences, et qu’il apprenne à se débrouiller, mais depuis toujours les parents de Nicholas étaient constamment inquiets. Ils ne pouvaient pas s’en empêcher, et c’était la mère la plus démonstrative sur le sujet. Son père tentait de la raisonner, même si au fond il n’était jamais réellement tranquille. Pourtant, le principal concerné était tout sauf anxieux, au contraire. Il ne tenait plus en place, et était très enthousiaste à l’idée de ce départ, de découvrir une nouvelle ville et de faire de nouvelles rencontres. Bien sur, ses parents allaient lui manquer, mais il voulait faire le plus de choses avant la fin, et si c’était couper le cordon plus tôt avec ses parents, il le ferait. Il ne pouvait pas se priver de vivre, non il n’avait pas le droit.
- Je suis prêeeeeeet !
Hurla-t-il en bouclant non sans difficulté son immense valise. Impatient comme pas deux, il fit plusieurs fois le tour de la maison en courant, tout en exprimant sa joie.
- On peut y aller hein ? On peut y aller ?
Non, il ne tenait plus en place. Son vol était dans le courant de la journée, et il n’avait plus qu’une hâte, être assis dans l’avion qui le mènerait à Boston. Pour le moment, il ne pensait qu’à ce qui l’attendait, et non à ce qu’il laissait derrière lui.
- Bagages enregistrées ! Vous avez vu, j’y suis arrivé tout seul comme un grand.
Nicholas bombait le torse, fier. Ce vol, il le ferait en solo. Et par ailleurs c’était la première fois de sa vie qu’il faisait quelque chose en solo. C’était une grande fierté pour lui, d’autant plus qu’il faisait le bonheur de ses parents. Tous trois prirent la direction de la salle d’embarquement, mais furent vite confrontés à un obstacle : la douane. Seul le passager avait le droit de passer, et donc les au revoir arrivèrent plus vite que prévu. Sur le coup de l’excitation, Nicholas avait du mal à réaliser que ça y est, au moins où il franchirait ces portes, il ne verrait plus ses parents avant un bout de temps, ce qui n’était pas le cas de ses géniteurs, qui auraient voulu le garder un peu plus auprès d’eux. Le cœur serré, Nicholas prit sa mère dans ses bras, puis son père. Il ne voulait pas pleurer devant eux, mais il avait bien du mal à contenir ses larmes ce jour-là. Il se détacha de leurs étreintes.
- Je serai prudent promis, je vous appelle à mon arrivée. Vous allez me manquer, je vous aime !
Il poussa la porte, avant de se retourner et de leur sauter dans les bras, laissant les sanglots prendre le dessus. Il venait de réaliser, et même s’il voulait jouer au grand, c’était encore bien dur pour lui de dire au revoir aux deux personnes qu’il aimait le plus au monde. Ils restèrent ainsi de longues minutes.
- Allez mon grand, il ne faudrait pas que tu loupes ton avion par notre faute. - Oui, c’est vrai. - A bientôt mon chéri, prends soin de toi !
Cette fois-ci, c’était la bonne, il se retourna une dernière fois pour les regarder, et les saluer, et au détour du couloir, plus rien. Il était face à son destin. Il sécha ses larmes, tentant de faire bonne figure, et avança vers la douane, déterminé.
- Bonjour à tous et à toutes, je suis le commandant de bord. Bienvenue à bord du vol 999 en direction de Boston. La température actuelle est de 25 degrès, et le ciel est dégagé. Nous vous remercions d’avoir choisi Miami Airlines, et espérons que vous passerez un agréable vol. Les membres du personnel seront à votre disposition tout au long du vol. Bon voyage.
Les yeux dans le vide, Nicholas regardait à travers le hublot, espérant voir ses parents à la distance où il était, mais rien. Il était déchiré entre le bonheur d’aller rejoindre Alayna, vivre sa vie, mais déchiré entre la tristesse de quitter Miami et tous les souvenirs qu’il s’y était fait. Et ça Nicholas, il avait de quoi raconter sur sa vie à Miami.
Il était arrivé à Wynwood High School, il y a trois ans, et avait intégré la Freshman Year à la rentrée. Wynwood, ça le changeait de son ancienne école, du temps où il vivait à New York. L’ambiance y était différente, et surtout le soleil semblait ne jamais s’épuiser dans cette ville paradisiaque. Il aimait beaucoup Miami, et toute la vie qu’elle dégageait. Il ne s’y ennuyait jamais, et vivait dans le quartier très diversifié de Little Haiti. Le plus craignos, il paraissait, mais c’était un mélange de cultures merveilleux, et lui aimait à se balader sur son skeat board dans ces rues vivantes et colorées. Il aimait tout de Miami. Sa culture, ses traditions, et sa plage. Toujours animée, musique à fond, c’était le point central de la ville, et quand il pouvait, il s’y rendait après ses cours. Il vivait donc une vie de rêve. Ses deux premières années, il ne se s’était pas passé grand chose de notoire, et il n’était qu’un étudiant lambda sur le campus. Il n’avait le profil requis pour aucune confrérie, mais ça ne l’avait jamais arrêté, et il s’était inscrit au club de musique, dans l’espoir de s’améliorer à la guitare. Et ça lui aura permis de rencontrer de nombreuses personnes, dont Shin et Eric. Eric, c’était le chef d’une confrérie de rebelles (les Sigma Nu miamiens) qui peut sembler effrayant au premier coup d’œil, mais avec qui Nicholas s’est très vite entendu, et par ailleurs il s’y était beaucoup attaché et à ce jour il le considère un peu comme son grand frère, son super-héros. S’il y avait bien une personne qu’il allait regretter, c’était lui, bien qu’il lui ait promis de toujours garder contact, de l’informer si quelqu’un venait à l’importuner. Puis Shin, le président du club de musique, le coréen venu du jour au lendemain, et qui s’était révélé être plus qu’un meilleur ami. Nicholas n’était pas américain, mais né à Seoul, puis par la suite adopté par ses deux parents actuels, vivant à New York, et a donc fini par découvrir que Shin était son véritable grand frère, et un lien indestructible s’est construit de fil en aiguilles entre ces deux-là, et même si Nicholas avait été habitué à être fils unique, avoir un frère avait été son rêve, et il est dès lors le plus heureux des garçons.
Nicholas laissait également derrière lui sa cousine adorée Haven, qui l’avait toujours soutenu, avec qui il avait grandi, et donc quelqu’un qui comptait énormément à ses yeux. Mais il laissait aussi Hayley, la jeune fille forte et souriante qui avait toujours su comprendre Nicholas, et avec qui il partageait ses heures de cours. En somme, il laissait beaucoup de camarades qui lui avaient permis de s’ouvrir, et ne plus avoir peur de s’attacher, malgré ses problèmes. Et bien sur, il leur serait éternellement reconnaissant pour ça. Mais aujourd’hui, il suivait une de ses plus belles rencontres : Alayna. Cette jeune fille originaire d’Irlande qui avait su faire battre son cœur, il ne regrettait en rien ce qu’il faisait, et n’attendait qu’une chose passer tout son temps libre avec elle, découvrir Boston. Et il ne restait que quelques heures avant d’aller la retrouver.
L’arrivée à Boston s’était faite sans encombres, et bagage en main, il héla un taxi direction Boston High School, il allait devoir s’établir dans sa nouvelle chambre à l’internat, mais surtout rencontrer sa nouvelle directrice pour la finalisation des papiers.
- Bonjour, vous devez être monsieur Tompkins.
Alors pour changer de Miami, ça changeait de Miami. Habitué à un jeune directeur cool et branché, il passait à la vieille peau fripée, petits yeux humides cachés derrière une paire de lunettes strictes au chignon si serré que toute sa peau était liftée naturellement. Nicholas la trouvait très moche, et avait soudainement très peur d’elle. Elle avait cet air très autoritaire, et une posture très droite, ce qui ne présageait rien de bon pour le pauvre Nicholas qui flanchait devant ce personnage lugubre.
- Oui. Répondit-il poliment, mais timidement.
- Nicholas Tompkins, c’est bien moi. - Vous avez fait bon voyage ? Lui demanda-t-elle, bien qu’on voyait que ça n’était qu’un effort pour être polie, mais le cœur n’y était pas, et elle devait visiblement n’en avoir rien à faire de son humeur. - Vous savez l’avion, ça a beau être rapide, c’est pas super agréable… - Oui, il est vrai. Passons aux choses sérieuses, vous devez être pressés de regagner votre chambre. - Oui, et il avait surtout envie de DORMIR. - Vous aurez donc la chambre numéro trois, dans le dortoir principal, chez ceux que mes étudiants aiment à appeler les Lambdas, dont voici les clés. - Merci. - Il vous faudra aussi remplir ces formulaires, mais vous pourrez y penser à tête reposée au courant de la semaine, il me faudra juste le rendre complet lundi prochain. - D’accord. - Si maintenant, vous avez autre chose à me dire, c’est le moment.
Le genre de phrase qui peut sembler absolument étrange, mais pour Nicholas, c’était celui où il devait se lancer pour parler d’un petit détail de sa vie. Il n’aimait pas spécialement en parler, mais les enseignants et la directrice se devait d’être au courant, en cas de problèmes, et prévenir par la suite les médecins scolaires pour qu’ils s’équipent correctement. Bref, Nicholas n’aimait pas le faire, puisqu’il sentait toujours qu’il devenait un véritable boulet.
- Euh oui. - Je vous écoute.
Nicholas sortit de son sac à dos un dossier médical, mise à jour récemment, et photocopié en plusieurs exemplaires. Parce que Nicholas n’allait pas pouvoir se reposer de suite, il allait devoir trouver tout un nouveau corps médical. Cardiologues, médecin traitant, et aller voir l’hôpital de Boston, puisqu’il était contraint à des contrôles de visites fréquentes.
Miss Garner rehaussa ses lunettes et commença la lecture, mais on voyait bien qu’elle avait du mal avec les termes médicaux un peu complexe. En même temps, les médecins n’aimaient pas appeler un chat, un chat, mais utilisaient le nom latin. Pas évident donc, quand on n’exerce pas ce métier.
- En résumé, ça veut dire quoi. Excusez-moi, mais je n’ai jamais été très calée en terme de maladies. - En résumé, une malformation du cœur. Une maladie cardiaque, c’est ce qui est plus utilisé couramment. - Et donc, cela consiste en quoi ? Racontez-moi tout, que je puisse en savoir un maximum, pour vous aider le plus possible. - Et bien, on m’a détecté ce problème quand j’avais cinq ans. A cette époque, je vivais encore à New York, avec mes parents adoptifs, et j’ai apparemment fait une crise, et on m’a appris que j’avais une malformation du cœur assez importante. C’est les artères principales qui sont obstrués, à cause d’un pompage du sang trop peu conséquent. J’ai tout un traitement médical régulier à suivre, la liste est en deuxième page, les médecins scolaires seront en mesure de s’en procurer au cas où j’en manque. Je dois aussi aller faire le tour des cabinets médicaux pour transmettre une liste de médecins traitants et cardiologues, donc je ne pourrais vous donner ces informations qu’à partir de demain, si ça ne vous dérange pas. - Non non, mais dîtes-moi, c’est grave à ce point ? - Visiblement, les médecins sont optimistes, ils trouvent que j’ai de la chance et que ma maladie me laisse plutôt tranquille, mais globalement je n’ai plus que trois ans à vivre d’après eux. Mais je préfère garder ça pour moi, retenez juste que j’ai un traitement à suivre, et que je ne pourrais donc pas suivre les cours de sport. La dispense est à la suite du dossier. - D’accord. Et bien, je crois que ce sera tout, merci Nicholas, et bonne installation. - Merci.
Nicholas avait été tout du long absolument neutre et monotone. Parler de sa maladie n’était pas une chose qui était facile. C’était une douleur immense que de se rappeler chaque jour qu’il était condamné, lui qui aimait tant la vie. Lui qui était si boute-en-train, mais qui était privé d’avoir une belle et longue vie. Il n’avait jamais véritablement accepté ce coup du sort, mais il restait optimiste, et essayait de le prendre avec le sourire. Cette maladie qui lui pourrit la vie, ne s’était manifesté qu’à l’âge de cinq ans, mais avait été détecté, bien avant, quand il n’était encore que nourrisson. Ca remonte à sa naissance, le 20 septembre 1998, dans l’hôpital de Seoul. La maladie annoncée aux parents biologiques, ils avaient décidés de l’abandonner là, ne pouvant accepter un tel fardeau. Mais depuis il vivait avec, et ça n’avait jamais empêché ses parents adoptifs de l’aimer, et c’était la raison pour laquelle ils se faisaient toujours un sang d’encre pour lui. Et même si parfois il trouvait ça lourd, il les remerciait de toute cette attention.
- Je suis bien arrivé ! J’ai parlé avec la directrice, c’est une vieille madame toute pliée dans le visage, c’est affreux. Je lui ai dis pour ma maladie, et tout est en ordre, je dois juste aller voir à l’hôpital maintenant. Ma chambre est plutôt grande, je l’aime déjà. En tout cas, ne t’inquiètes pas pour moi maman, je vais m’en sortir je le sens, et tu pourras être fière de moi !
Caractère
Bon, il paraît maintenant que je dois vous présenter Nicholas, et ce qu’il se passe dans sa tête, alors allons-y. Beaucoup de membres le connaissent déjà, et souvent on lui a attribué le qualificatif « trop mignon » et c’est vrai que je joue énormément sur le fait que le chanteur de son avatar fait tout sauf ce jeune adulte de vingt-six ans, mais bien un petit jeunôt trognon, à qui on a bien envie de tirer sur ses joues. Et Nicholas, c’est un peu ça, un chérubin. En apparence, mais pas que. Il ne se le cache même pas, puisqu’il est en réalité très insouciant et naïf. Il aura exactement le même comportement qu’un enfant face à certaines situations. Il est très expressif, et donc il est très facile de deviner sa réaction, il ment difficilement et il n’y arrive d’ailleurs pas. C’est un personnage très enthousiaste, qui quand quelque chose lui plait, il va se mettre à sourire, à sauter dans tous les sens. C’est un vrai petit boute-en-train, et j’adore écrire avec lui justement pour ça. C’est toujours très amusant d’imager ses réactions, écrire ses dialogues avec sa joie de vivre et le fait qu’on est incapable de le détester, ou vouloir lui faire du mal tant il a d’amour et de gentillesse à revendre. Ca fait grosbill peut-être dit comme ça, voire même montrer un personnage qui n’a aucune faille, mais du tout, les liens négatifs ne veulent pas venir, pas ma faute. Mais bon, c’est quelque chose qui n’est pas forcément bon, à être trop naïf, un jour il risque bien de se faire avoir le pauvre Nicholas et il verra rien venir, trop enthousiaste et crédule. Ca lui portera forcément préjudice, puis comme il est pas du genre rancunier… Ah bah oui, en plus, il a le pardon facile, il a pas toute une vie bien remplie pour se permettre d’en vouloir à quelqu’un, ce serait du gâchis.
Parce que je me suis aussi beaucoup focalisé sur le fait qu’il avait une vie « courte » pour déterminer comment il allait être. Je ne voulais pas ce genre de mec complètement dépressif à l’idée que sa vie pouvait finir du jour au lendemain, mais le portrait d’un petit garçon insouciant, parce que parfois les enfants sont bien plus forts moralement que des plus grands. Ils montrent une détermination à toute épreuve, et acceptent même avec le sourire, en restant très optimistes et c’est une qualité que j’ai toujours admiré, et j’adore jouer ce côté avec Nicholas, ce qui doit sans doute le rendre très attachant et courageux. Il ne s’apitoie pas sur son sort, au contraire, il s’amuse de tout, il aime les défis et il adore sortir, se faire des amis, découvrir de nouvelles choses. Il veut justement pouvoir tout faire, alors il n’est pas du genre très patient. Souvent, il trépigne sur place, et peut devenir un peu agaçant, sa curiosité peut le rendre très bavard. Il a toujours une question, une réflexion, un « pourquoi ? » absolument crédule à placer dans une phrase. Il veut toujours avoir réponse à tout et n’hésite pas à se cultiver pour ça. Comme il n’a pas vraiment le droit d’aller dans les boîtes et dans les bars à cause du tabac et de l’alcool qu’il n’est pas en droit de consommer, il privilégie d’autres endroits comme les musées, et autres lieux de culture, qui lui conviennent amplement. Ca le tient calme, et il y prend plaisir.
Après je voulais surtout un personnage en totale opposition avec tous ceux avec qui j’ai l’habitude de jouer. Caractériels, très hautains, assez méprisants et parfois trop bruts de décoffrages. Là je voulais vraiment un personnage humain, avec des valeurs bien ancrées. Comme une politesse à toute épreuve, un grand respect peu importe les circonstances. Mais aussi une tolérance sans faille. Nicholas ne jugera jamais quelqu’un selon les apparences, il apprendra toujours à connaître la personne, mais en règle générale il déteste rarement les gens. Il faudra vraiment que cette dernière lui ait fait quelque chose de vraiment méchant, sinon quoi il est plus du genre à aimer tout le monde, et peut-être un peu trop. Mais au moins, il n’est pas réellement difficile de converser avec. Il peut se montrer comme étant très enfantin, mais aussi mature. Il va avoir dix-sept ans, il n’est donc pas totalement ignorant, il ne faut pas l’oublier. Après il est parfois un peu maladroit. Il n’en est pas au point d’avoir deux mains gauches, mais il est un peu gaffeur, et ça ne vient jamais d’une mauvaise intention, il est juste parfois trop sincère, trop spontané. Oui, j’ai vraiment appuyé ce côté enfant sur Nicholas, puisqu’en règle générale, ils n’ont pas de filtres non plus, ils parlent en fonction de leurs pensées, ils ne réfléchissent pas avant de le dire, d’où l’expression « la vérité sort toujours de la bouche des enfants. ». Ce qui ne signifie pas que tout est véridique, mais qu’ils retranscrivent mot à mot ce qu’il se trame dans leurs petites têtes, ce qui rend leurs dires vrais, authentiques. Et Nicholas, c’est ça en fait. Après il sait ce qui est bien ou pas, il ne rit pas forcément de tout, il sait quand il doit être sérieux, et il sait quand il peut ne pas l’être. Il est loin d’être bête.
Du coup, c’est un peu en suivant ce raisonnement que j’en suis venu à construire peu à peu le personnage de Nicholas tel qu’il est, mais il est toujours en constante évolution. S’il est encore ce petit garçon dans sa tête, qui ne prend pas toujours conscience de tout, qui trouve toujours une manière de voir le verre à moitié plein, viendra un jour où ça se compliquera, le temps lui est compté, et c’est une chose qu’il n’oublie pas malgré tout, il n’aime d’ailleurs pas trop en parler, ni même qu’on le prenne en pitié. Et c’est peut-être la seule chose qui puisse agacer le monsieur. En tout cas, pour le moment je pense que ce n’est pas trop mal pour un résumé, généralement c’est plus facile à développer lors des rencontres avec d’autres personnages, et vous le découvrirez en profondeur à ce moment précis. En espérant qu’il vous plaise, le petit monsieur.
A propos de toi
Pseudo : Sashette, encore et toujours, mais c'est la dernière, c'est le dernier compte que je devais bouger jusqu'ici (a) Age : toujours 20, même si dans 2 mois, c'est bon tu peux changer le 0 en 1 (a) Comment as-tu connu le forum ? bah toujours de la même manière hein Fréquence de connexion ? tous les jours, easy Quelque chose à ajouter ? Arwywywywywywywy Code du règlement : Ok By Rico.
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Alayna Keane
Kappa Pi
Disponibilité pour RP : ✓ Featuring : Ebba Zingmark DC : Kyaw Ne Min, Logan C. Maxwell, Marine Martel, Seung Joo Park & Jake I. Wilson Messages : 79 Who I am? : Une simple jeune fille People around me : Mon entourage Where I'm going : Mes méfaits Social Network : Tumblr CellPhone : Téléphone et casier Relations : Avec le plus mignon des jeunes garçons <3 Date d'inscription : 24/06/2015 Age : 26
Sujet: Re: Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà ! Mer 24 Juin - 23:28
J'aime tellement la tête trop mignonne de Nicho, j'ai hâte de pouvoir RP à Boston avec lui *_*
Invité
Invité
Sujet: Re: Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà ! Jeu 25 Juin - 11:15
Sujet: Re: Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà ! Jeu 25 Juin - 11:41
Nichhhhooooo *_* J'aurai bien voulu avoir Eric sous le coude pour poster ce message mais bon En tout cas je suis content de le revoir dans le coin *-*
Alayna Keane
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Sujet: Re: Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà ! Dim 28 Juin - 22:46
Félicitations !
« Tu es validé(e) Il est mignooon *o* /pan Bon bah voilà, tu sais que je suis aussi amoureuse de Nicho qu'Alayna, alors j'ai aimé redécouvrir ce petit bonhomme J'espère qu'il va se plaire à Boston et j'ai hâte de RP avec lui à nouveau »
Tu peux désormais aller faire ta fiche de liens, ainsi que répertorier tes futurs RPs. Mais tu as aussi désormais accès à tout un tas d'autres topics. Demander un rang, mais aussi un logement, l'adhésion à une confrérie si ton personnage est un étudiant ainsi que choisir tes options. A toi d'aller te renseigner et lire les différentes histoires de nos confréries pour mieux les comprendre. Tu pourras par la suite te renseigner sur les cours qui ont lieu à l'école, les options ainsi que les clubs et comment y adhérer. Néanmoins, si jamais tu as la moindre question, le staff sera toujours là pour te venir en aide, donc n'hésites pas à leur envoyer un MP si jamais tu es dans une impasse ! Bon jeu parmi nous <3
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Sujet: Re: Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà !
Quand on aime, on ne compte pas... Alayna, me voilà !