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 Héloïse Rivest-Delta Upsilon

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AuteurMessage
Jae Ji Choi
Jae Ji Choi
Colors Around Me They're Fading Away
Disponibilité pour RP : Disponible :D
Featuring : Yoon Doojoon
DC : James P. Cobb E.
Eoin Johnstone
Gwen E. Foster
Soon: Nikolaï A. Koslovski

Messages : 145
Who I am? : A Brigh Red Rose Who Comes Bursting Out of the Concrete.
People around me : They Are Green or Red... Well Red or Red in fact...
What I've done : Héloïse Rivest-Delta Upsilon L6tx
Relations : Lee Hae Hyuk -> Grand ami/Essentiel *-*
Seung Joo Park -> Pillier de ma vie
Maïa R. Hope -> Muse
Iris E. S. Min -> Pride & Prejudice...

Date d'inscription : 12/06/2015
Age : 28
Localisation : Boston Yeaah
MessageSujet: Héloïse Rivest-Delta Upsilon   Héloïse Rivest-Delta Upsilon EmptySam 10 Oct - 19:43

Et un petit conseil pour les DU Very Happy

Héloïse Maya Rivest


I.D Card

Âge : 17 ans
Date de naissance : 11 novembre 1997
Lieu de naissance : Québec City, province de Québec, Canada
Statut civil : Célibataire
Statut social : Aisé
Métier/Études : Bénévole dans des associations environnementales; L1 en sciences (physique, mathématiques et astronomie + droit)
Classe : Université
Groupe : Delta Upsilon of course Héloïse Rivest-Delta Upsilon 2041721786 Et si possible, je voudrais postuler pour le poste de présidente Héloïse Rivest-Delta Upsilon 4078694850
P.I ou scénario ? Personnage inventé (c'est Bambi en revue et corrigée)
Avatar : Freya Mavor
Secret envoyé : Ok By Rico


Get out of my mind

En poussant une mèche de cheveux blonds derrière mon oreille, je ramasse une photo sur le sol en lino de ma chambre. On y voit une jeune fille d’un ou deux ans de moins que moi qui me ressemble comme deux gouttes d’eau, ou presque. Ses cheveux blond platine sont relevés en un chignon, elle est vêtue d’un survêtement, d’un pull, et d’une paire de patins à glace. Elle est en pleine pirouette. Pour un esprit mathématique comme le mien, ça se voit immédiatement que les proportions sont parfaites, l’accélération et l’aérodynamisme sont optimaux. Mais je ne regarde pas que ça. Je vois aussi la passion et le bonheur pur étalés sur ses traits fins. Cette photo, c’est moi qui l’ai prise, il y a un peu moins de deux ans, quand ma jumelle pouvait encore faire du patinage artistique. A l’époque, j’allais presque tout le temps la voir s’entraîner, et j’en profitais pour la photographier. La photographie est depuis longtemps un de mes passe-temps préférés –avec la bonne bouffe québécoise, mais là n’est pas le sujet. J’aime la façon dont je capture des moments pour toujours. Je peux ensuite m’en souvenir à volonté. L’émotion commence dangereusement à me submerger. Le cliché tremble entre mes doigts, et je le range dans un des cartons qui va partir avec moi à Boston.

Oui, c’est dur à croire, mais je ne me suis pas toujours si peu entendue avec ma sœur. Je n’ai rien contre Lily-rose, c’est elle qui a ouvert le feu, et c’est vite devenu invivable pour mes parents. On dirait que ma sœur fait exprès de tout faire pour qu’on ne soit jamais dans la même pièce. Quand je suis à la maison, elle sort se balader, et quand je sors en ville, elle s’enferme dans sa chambre devant son écran d’ordinateur. C’est vrai que dans ce domaine, on est complémentaires. Je suis une quiche en informatique –à tel point que j’en suis restée au téléphone Nokia neuf touches où il faut appuyer trois fois sur 1 pour taper C-, alors qu’elle est capable de faire tout et n’importe quoi avec ses dizaines de logiciels. Je crois qu’elle ne le sait pas, mais j’admire beaucoup de choses chez elle. Certes, j’ai toujours été une meneuse, plutôt autoritaire d’ailleurs, mais j’aime sa dévotion, l’amour évident qu’elle porte au monde entier. Elle a un cœur énorme. Je soupire et ouvre un autre album photo, un parmi les dizaines que je possède. Je tombe sur une photo que mon meilleur ami a prise. Il y a tout mon groupe d’amis, aussi celui de Lily-rose, et ma jumelle elle-même est là, en train de m’enlacer. On lance toutes les deux un sourire immense à l’objectif. Je souris tristement. C’était pour notre anniversaire il y a trois ans. J’aime être entourée, me sentir aimée et chérie. On ne dirait pas, mais sous la carapace d’une femme forte et indépendante, sûre d’elle et avec un avis sur tout, je suis très affectueuse. Pour autant, j’ai parfois besoin d’un peu de solitude. Je vais souvent me ressourcer pendant un week-end seule dans la forêt, où je médite et je réfléchis. La nature a toujours eu cet effet apaisant sur mon caractère d’ordinaire très (trop) énergique. Je suis pire qu’une Duracell.

Cette énergie me permet de me lier très vite aux gens. Je suis rarement intimidée, j’ai le don de mettre à l’aise et de m’entendre avec la plupart des gens. Toutefois, quand quelqu’un me sort par les yeux, il le sait, et tout de suite. Eh oui, à mon sale caractère vous pouvez maintenant rajouter « franche ». Ce qui à mon avis n’est pas un défaut, puisque ça entraîne aussi une certaine spontanéité de ma part. Mes amis savent qu’ils peuvent compter sur moi, je suis serviable, compréhensive, et attentive. J’aime donner des conseils quand je peux. On dit que j’ai une joie de vivre contagieuse et une curiosité sans bornes, et sur ce dernier point, je dois dire que c’est vrai. Pas curieuse de commérages, non, curieuse de comprendre comment fonctionne le monde, pourquoi telle chose est comme elle est et pas d’une autre manière. Oui, une vraie matheuse, je vous avais prévenue. On ne dirait pas, mais j’ai un esprit pragmatique. Je suis réfléchie, et j’ai tendance à tout analyser avant de foncer dans le tas. Je trouve toujours une solution aux problèmes, d’où peut-être mon amour pour les maths et la physique. Quand j’ai une idée dans la tête, rien ni personne ne m’arrêtera tant que je n’aurai pas atteint mon but. Je suis tellement tenace et déterminée que ça en devient agaçant parfois. L’avantage, c’est que cet aspect de ma personnalité me permet d’être une travailleuse acharnée. Aucun obstacle ne me décourage. Je suis une battante, c’est tout. Abandonner n’est juste pas dans ma nature. Je veux savoir que tout ce que j’ai fait et réussi dans ma vie, ça a été à la sueur de mon front.


Story of my life

En feuilletant un peu plus mes albums photos, je tombe sur un cliché de moi et de ma jumelle quand on était petites, avec nos couettes et nos grands sourires. On s’entendait tellement bien avant. On faisait les quatre cent coups ensemble, on n’était jamais l’une sans l’autre. On savait ce que l’autre pensait sans avoir à prononcer un mot. Et puis quand on allait mal, on partait toutes les deux dans la forêt pour se ressourcer. La nature et nous, c’est tout ce qu’il nous fallait. Une bouffée d’air pur, de liberté et de repos. C’est enivrant de se trouver au milieu d’une clairière sous les étoiles et de se rendre compte de l’insignifiance de sa vie. Nous sommes des petites points à la surface de la Terre, mais nous étions intimement convaincues que quoi qu’il arrive nous serions toujours là l’une pour l’autre.

On me demande souvent ce que c’est d’avoir une sœur jumelle, mais je ne peux pas répondre. Je n’ai jamais vécu sans Lily-rose, et Lily-rose n’a jamais vécu sans moi. C’est comme une partie de moi. En fait, il paraît que nous ne sommes pas de vraies jumelles, au sens scientifique et biologique du terme -à comprendre : nous ne sommes pas issues de la même cellule œuf divisée, mais bien de deux ovules différents. Ca se voit un peu d’ailleurs : elle a hérité de la teinte platine des cheveux de ma mère, les miens sont un peu plus foncés, mais de même que Maman, ils sont bouclés. En tournant les pages de l’album que j’ai dans les mains, je trouve la photo que je cherchais. On y voit ma mère, juste après l’accouchement, épuisée mais rayonnant de bonheur, ma sœur et moi dans ses bras, mon père nous entourant toutes les trois. Il y a tellement de bonheur et d’amour qui émanent de ce cliché que c’est impossible de ne pas avoir un sourire attendri en la regardant. Je suis née précisément treize minutes et quarante secondes avant ma jumelle, ce qui fait de moi l’aînée. Certes, on ne dirait pas, parce que c’est elle la plus sage, la plus douce et la plus posée, mais d’un autre côté, ça a toujours été moi qui menais tous nos jeux, traînant plutôt qu’entraînant Lily-rose derrière moi. Une boule d’énergie, mais aussi une catastrophe sur pattes, voilà ce que j’étais. Ma jumelle était autant aimée pour son calme que j’étais redoutée pour mon hyperactivité.

Bien que très différentes, on était inséparables, comme les deux doigts de la main. Maman et Papa sont très connus dans le domaine scientifique, ils ont fait de grandes avancées dans la recherche et ont fondé un des plus grands laboratoires de recherche du Canada, ce qui fait qu’on n’a jamais manqué de rien. Cela dit, l’argent n’est jamais monté à la tête de mes parents, surtout pas à celle de ma mère, issue d’un milieu modeste. C’est elle qui a appris à Lily et à moi de toujours rester humble et d’aider les gens. Mon père m’a quant à lui donné le goût de la photographie et de la nature pure, sauvage, mais tellement belle. On partait souvent en week-end en pleine forêt pour se ressourcer, et ça m’a laissé de très bons souvenirs, presque tous immortalisés par mon objectif. A la réflexion, j’ai plus de traits de caractère de mon père que de ma mère. Il est fougueux, aventureux, autoritaire, entreprenant, tandis que ma mère est calme, douce, et une grande artiste aussi. Son domaine c’est la peinture. J’aimais tellement la regarder peindre quand j’étais gosse, ça me passionnait, les paysages et les animaux prenaient vie sous ses doigts. En somme, donc, on a eu une enfance proche de la nature, entourées par des parents aimants.

Je tourne encore les pages de mon album, et j’arrive sur une photo prise par Papa. On y voit Lily-rose et moi à notre entrée au lycée, en jeans et sweat-shirts à l’effigie de la mascotte de notre établissement. On éclate de rire face à l’objectif, et je me souviens que c’est parce que mon père venait de lâcher une de ses vannes légendaires. C’est cette année-là que j’ai décidé que je voulais faire quelque chose d’important, qui ferait une différence dans la vie des gens. J’ai poussé ma sœur à rejoindre une association de protection de l’environnement. Cette association avait un programme spécial pour les lycéens membres : on avait le privilège de faire des interventions dans des écoles primaires et des maisons de retraite afin de sensibiliser les populations. On distribuait des tractes, on mettait au point des publicités à afficher sur les bus ou les arrêts, on peignait des pans entiers de murs que la ville mettait à notre disposition, et la plupart du temps on ne faisait que des actions pacifiques. Bien qu’ayant un caractère et une énergie particulièrement marqués, j’ai été élevée dans le respect de l’autre. La violence, selon moi, ne résout rien, ou alors pas grand-chose. Cette association est devenue comme ma deuxième famille. Je m’entendais bien avec tout le monde, on passait beaucoup de notre temps libre ensemble et on avait l’impression de faire enfin quelque chose d’utile. Chacun pouvait mettre ses talents à profit.

Mes années lycées ont, je pense, été une des plus belles expériences de ma vie. J’avais la vie devant moi, la détermination et la jeunesse de mon côté. Je me sentais invincible. Bien sûr, j’ai eu quelques accidents de parcours, comme en témoigne la photo où je suis avachie sur mon canapé, en survêtement et grosses chaussettes, un gros pot de Ben & Jerry’s à la main. A vrai dire, je me fiche un peu de l’image que je renvoie, je peux aussi bien venir en cours en petite robe sage qu’en jean troué ou survêtement, tout dépend de mon humeur. Enfin souvent, ça reste des vêtements confortables et pratiques, surtout quand je sors dans la forêt. Ça se voit que Lily-rose a pris la photo à l’improviste : elle a réussi à saisir le moment pile où je me rendais compte qu’elle prenait une photo, du coup je suis à moitié en train de crier et à moitié en train de rire, bref, je suis absolument horrible. En fait, je venais de rompre avec mon petit copain, du coup je n’étais pas vraiment au top de ma forme. Je n’ai jamais eu de chance en amour. Je tombe toujours sur des cons. Du coup, j’ai décrété que Ben et Jerry seraient les deux seuls hommes de ma vie.

Et puis, le pire arriva. Rien à voir avec des mecs, non. Je faisais de la moto depuis quelques temps déjà, j’adorais l’adrénaline que ça procurait, donc j’avais passé mon permis et tanné mon père pour remettre la vieille moto de famille en état de marche. Le 11 octobre de l’année dernière –je me souviendrai toujours de cette date-, j’ai réussi à persuader ma sœur à monter. Je n’aurais jamais dû. J’ai pris un virage trop rapidement, la route était glissante, j’ai perdu le contrôle. La moto a volé, nous aussi. Il y a eu du sang, des cris, les sirènes de l’ambulance. Les urgences. J’ai eu énormément de chance, bien que ça se résume quand même à quelques côtes fracturées, un bras dans le plâtre, plusieurs muscles froissés et des points de sutures, notamment sur l’arcade sourcilière. Mais Lily-rose est restée un peu dans le coma. A son réveil, on lui a dit qu’on devait l’opérer. Rien de grave, mais si elle subissait l’opération, jamais elle ne pourrait refaire du patinage artistique comme avant. Ça l’a détruite. Ça nous a tous détruits. Depuis, j’ai la phobie des hôpitaux et il m’arrive de revivre cette nuit atroce dans mes cauchemars. Ma jumelle ne m’a jamais pardonnée. Je m’en veux tellement, j’aimerais tellement qu’elle me pardonne, mais ce que j’ai fait… C’est horrible, même si ce n’était qu’un accident, ça lui a coûté sa passion. Il n’y a pas un seul jour où je ne voudrais pas échanger ma place avec la sienne. La première chose que j’ai fait en arrivant à la maison, c’est quitter l’association. La chose qui me tenait le plus à cœur. J’ai fait ça pour elle, pour lui faire comprendre que j’étais vraiment désolée. Et j’ai continué à faire des sacrifices plus durs les uns que les autres pour lui prouver mon amour. J’ai passé des nuits entières à pleurer devant sa porte juste pour pouvoir lui parler. Mais jamais elle ne m’a ouvert la porte. Ça lui fait trop mal de me voir en un seul morceau alors qu’elle ne peut plus patiner. Plus jamais. Du moins pas au niveau qu’elle avait. Elle a dû dire adieu à son rêve de devenir une professionnelle, à cause de moi.

Peu à peu, ça s’est tassé. On a arrêté d’y faire attention. Mes parents ont arrêté de tenter de nous réconcilier. En fait, j’ai l’impression qu’on vit des vies parallèles. Je me suis trouvé une passion pour les maths et la physique, et j’ai décidé de continuer mes études dans ces domaines, en prenant en plus l’option astronomie pour pouvoir travailler à la NASA plus tard. Sauf qu’une fois encore j’ai dû faire des concessions pour ma sœur. Depuis qu’elle est jeune, et plus encore depuis l’accident, Lily-rose souhaite voyager, voir le monde, s’éloigner de son bled, même s’il n’est pas si paumé que ça. Elle a jeté son dévolu sur l’université prestigieuse de Boston, sauf que mes parents sont loin d’être d’accord. Ils ne souhaitaient pas qu’elle parte, en tout cas pas seule. Un coup d’œil appuyé vers moi, et j’ai compris que si je ne voulais pas encore briser un de ses rêves, il faudrait que je me dévoue pour partir avec elle. J’ai accepté de laisser Québec derrière pour elle, mais je ne sais pas si je tiendrai le coup.


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